Éditeur classique vs Éditeur Gutenberg

Dans le présent site, j’utilise le thème Miniva. Je rédige ce billet afin de faire un test croisé entre un blog et un autre.

En particulier, sur Linuxvillage.org, j’emploie Chronus, de ThemeZee. Et là je ne parviens plus à utiliser l’éditeur classique, restauré, comme ici, à l’aide de l’extension « Classic Editor ».

Le champ de rédaction ne répond pas. Si du texte y est inscrit il est invisible, je sais qu’il y est en affichant l’onglet HTML, mais dans l’onglet Visuel rien ne se passe.

Par ailleurs sur Linuxvillage.org, j’ai une extension pour gérer les langues, WPGlobus. Sur un autre site où j’ai WPGlobus, et encore un autre thème WordPress (thème Debut avec un thème enfant), l’interface de rédaction avec Classic Editor aussi devient quasi inaccessible, l’onglet Visuel n’affichant plus le contenu qu’un bref instant à l’ouverture de l’édition et lors d’un rafraîchissement de la page et le contenu disparaît aussitôt.

Mon navigateur web est Firefox, en dernière version stable. Je n’en ai pas essayé d’autre.

Ici, sans WPGlobus cela semble fonctionner parfaitement.

Je vais maintenant faire le même test sur https://citrotux.org, qui utilise Chronus, mais n’a pas WPGlobus.
Voyons si le Classic Editor ici fonctionne ?

………
……

Suite de l’histoire : sur le site citrotux.org avec le thème Chronus et pas de WPGlobus installé l’éditeur classique fonctionne.
Ici avec le thème Miniva j’ai voulu installer WPGlobus sur ce multisites, et l’activer uniquement sur le présent sous-site melodie.citrotux.org : bingo, l’onglet Visuel n’affiche plus le texte, et ne permet pas d’un insérer le curseur permettant de démarrer l’édition d’un texte.

À noter que ce phénomène est aléatoire, et peut se produire, ou pas, à chaque étape du processus d’édition. Par exemple avoir avoir mis à jour cet article pour l’enregistrer, une fois revenue sur l’onglet « Visuel », je suis à nouveau en mesure d’y ajouter ces quelques lignes.

Et après avoir ajouté ces dernières lignes depuis l’onglet Visuel, j’ai cliqué sur le bouton « Mettre à jour » dans la barre des outils à droite du champ de rédaction, et hop ! Le champ « Visuel » n’affiche à nouveau plus rien et ne permet plus l’édition. Je suis revenue dans l’onglet « Texte » pour ajouter cette dernière observation…

Quand Libreoffice et WordPress sont faits pour s’entendre

Voulez-vous écrire un billet hors ligne avec Libreoffice, mettre un formatage, par exemple de la couleur, que sais-je d’autres, et ensuite faire un copié-collé vers le champ d’édition d’un nouveau billet dans WordPress ? Un simple « Ctrl-a » dans Libreoffice, suivi d’un « Ctrl+c » et un Ctrl+v » après avoir sélectionné le champ article dans WordPress permettent de poster votre chef-d’œuvre en un rien de temps. Je viens de tester avec la version 4.4.1.2 de Libreoffice, vers la version 4.1 de WordPress. Cela fonctionne. Démonstration ci-dessous:

Tutu

tata

titi

toto

 Les raccourcis-clavier comptent : « Ctrl+c » et Ctrl+v » permettent de réussir le copié-collé. La méthode avec la souris ne fonctionne pas.

Notez que je suis sous (Arch)Linux. Je ne peux pas garantir que cela fonctionne de la même manière sous Windows. À vous de me dire ?

Compiler Xsnow

Comment compiler xsnow:

xsnow-1.42.tar.gz est ici http://janswaal.home.xs4all.nl/Xsnow

imake contient généralement xmkmf qui est requis.

Pour pouvoir le compiler (needed to build)
imake
gccmakedep
libx11-devel
libxt-devel
libxpm-devel

Une fois que ces paquets sont installés, lire le fichier README:

and once these installed, following the README:

How to compile:
—————
To build:
xmkmf
make depend
make

et voilà ! / is successful

Réseaux sociaux ou auto-fichage ?

Publié le : 19 avril 2012

Je vous suggère de lire cet intéressant billet de fiction. Tellement réaliste…

Expulsé du territoire pour avoir utilisé Facebook, Google+, Linkedin ou Twitter (lien supprimé en 2030 pour cause de disparition du blog d’origine, quand à l’auteur, il n’a pas laissé de lien pour faire suivre les commentaires 😔 ).

Lorsque Mr X arriva à l’aéroport , le fonctionnaire du contrôle des passeports ne lui posa qu’une seule question : “Utilisez vous les réseaux sociaux, Google+, Facebook, Twitter, Linkedin ?”

‘Heu, oui, comme tout le monde”

-Je vois ici sur votre profil Facebook que vous avez coché la case religion et indiqué Islam. Vous êtes pratiquant ?

-Mes parents le sont et je ne suis pas baptisé si vous préférez. Mais comment pouvez vous avoir accès à ces informations que je ne partage pas hormis avec mes amis ? C’est une violation de ma vie privée !

-Vous avez entièrement raison ! Cependant, notre police a passé des accord commerciaux avec Facebook pour acheter les données de ses utilisateurs (…)

Les réseaux sociaux sont-ils dangereux pour la préservation de notre vie privée, ou est-ce seulement l’usage qu’on en fait qui peut le devenir ?

Mise à jour 2020

À partir de 2013, puis en 2015 …

Des sous-titres en français sont disponibles sur amara.org.

En 2019 Pour obtenir un visa de voyage vers les États-Unis depuis mai 2019 vous devez indiquer les réseaux sociaux que vous avez fréquentés durant les cinq années précédentes.

En 2023, puis en 2027, puis lors des 12° et 15° lunes après Fonfon l’intrépide…

 

Dictionnaires informatiques et DMA

Les dicos fonctionnels sont rares…

Je viens de visiter plusieurs d’entre eux pour rechercher un choix… L’un a planté Firefox avec son script, le dernier, www.dicodu.net,  affiche:

Microsoft OLE DB Provider for ODBC Driverserreur ‘80004005’

[Microsoft][Pilote ODBC Microsoft Access] L’opération doit utiliser une requête qui peut être mise à jour.

/ExplicationMot.asp, ligne 6

Il reste Jargonf Actu et Wikipédia.

C’est le Jargon Français (Maintenant Jargonf Actu) qui est le meilleur ! o/ !

Ensuite, quelques infos pour recouper le cheminement du DMA à l’UDMA etc…
LE DISQUE DUR Historique des technologies. (de Hubert GREGOIRE, sur archive.org Dernière modification le 06/04/04)

http://jargonf.org/wiki/ultra_DMA

Dr enus.png locution nominale, masculin.  [disque]. Ultra Direct Memory Access.
Technologie de transfert de données entre le disque dur et la mémoire, en pratique du Direct Memory Access. Existe en 7 versions pour le moment, numérotées de 0 à 7, avec des débits respectifs de 16,7, 25, 33,3, 44,4, 66,7, 100 et 133 Mo/s.

Et le DMA, cité dans divers documents sans préciser sa plage historique, comme si nos PC l’utilisaient encore couramment (vrai pour certains, pas pour d’autres selon Jargonf Actu):

http://jargonf.org/wiki/DMA

1.  [mémoire (puces)]. Direct Memory Access. Accès direct à la mémoire vive. Mode de transfert de données dans la mémoire vive d’un ordinateur, optimisé car il ne mobilise quasi pas le processeur.

Le processeur ordonne le transfert DMA à un circuit spécialisé puis s’occupe d’autre chose (surtout grâce à sa mémoire cache, car le transfert mobilise d’ordinaire le bus de façon non négligeable). Un périphérique disposant d’un canal DMA copie ainsi dès que nécessaire au lieu de faire la queue.

Les processeurs sont désormais nettement plus rapides que le reste de la machine, ce qui n’était pas le cas quand le DMA a été mis au point. Or le DMA exige des circuits sur le périphérique, donc on peut économiser en s’en passant lorsque le débit n’implique pas de trop mobiliser le processeur, ou s’il n’a rien d’autre à faire.

Le sens de direct est ici bien distinct de celui qu’il revêt dans accès direct. Toute mémoire vive permet l’accès direct à nimporte quel élément, direct signifie ici que le CPU, d’ordinaire seul habilité à lire/écrire dans la mémoire vive, n’est pas impliqué.

(…..)

Note : fin de la page citée : «Dernière modification de cette page le 28 juillet 2009 à 13:28».

À suivre !

 

Setun, l’ordinateur trinaire

Un jour, je me suis demandé pourquoi les ordinateurs utilisent le système binaire. D’ailleurs, aurait-il été possible, de créer par exemple, un ordinateur basé sur un système trinaire ? Si cela avait été possible à quoi cela aurait-il ressemblé ? Alors, sans me douter que je trouverais un tel projet, j’ai cherché « ordinateur trinaire » sur le web, et…

Demo en ligne Setun

En 1956 un chercheur russe du nom de Nikolai Brusentsov avait mis au point un ordinateur basé non sur un système binaire, mais sur un système trinaire.
Nikolay Brusentsov – the Creator of the Trinary Computer

According to Essays on history of Computer Science and Technology in Ukraine »
author Boris Malinovsky
On June 21, 1941, the day before the beginning of the Great Patriotic War of the USSR Nick Brusentsov was an eighth-form (equivalent to 10th grade in the USA) schoolboy living in Dnepropetrovsk. He participated in competitions of young musicians, conducting a chorus which sang his own composition about Dzerzhinsk metallurgy workers. Everything was remarkable.

However, the next morning, together with the other children who had arrived from Dneprodzerzhinsk, he was urgently sent back home. He was already home when he heard Molotov’s radio speech. The words « The Victory will be ours! » and Borodin’s Bogatyrskaya symphony which followed were memorable for him.

Thus ended Nikolai’s childhood.

C’est le début de son histoire…

Ordinateur trinaire sur le web

Je résiste à l’envie de tout copier-coller ici, et je passe à la partie concernant directement cette machine utilisant un langage trinaire:

It was namely then that he decided to use a trinary number system. It allowed for the creation of very simple and reliable elements and reduced their quantity by seven times as compared to the number of elements used by L.Gutenmacher. The power source requirements were sharply reduced, due to the fact far fewer magnetic cores and diodes were being used. But the main advantage was that a natural number coding system was used instead of direct, inverse and complement number coding.

He developed and assembled a circuit for a trinary adder which began to work reliably as soon as it began operating. S.Sobolev, having found out about his intention to create a computer based on a trinary scale of notation fiercely supported the project and promised to bring on some young assistants. Inventing adders, counters and other typical circuits didn’t present much of a problem to Brusentsov.

In 1958 Brusentsov’s team (at that time amounting about 20 persons) assembled the first model of the computer with their own hands.

http://www.icfcst.kiev.ua/MUSEUM/GALLERY/Gallery.html

http://www.icfcst.kiev.ua/MUSEUM/PHOTOS/Setun-1.html

SetunSetun 1

 

Il a eu le succès qu’on lui connaît : un flop, puisque presque personne n’en parle, n’en a parlé ces dernières années, lors de la généralisation de l’usage de l’ordinateur personnel.

Selon l’article suivant, Development of ternary computers at Moscow State University

Brousentsov N. P., Maslov S. P., Ramil Alvarez J., Zhogolev E.A. cela aurait été une machine très économique et puissante.

The design of small digital machine « Setun » (Setun is the little river which flows into the river « Moscow » near the University) was initiated by member of the academy of Sciences S. L. Sobolev at 1956. It was assumed to create small, inexpensive computer, simple in use and service for schools, research laboratories, design offices and for manufacture control.

Si j’ai bien compris, la création de programme était aussi une tâche aisée.

The experience of creating, programming and application of « Setun » unambiguously confirmed the significant preferences of ternarity. In spite of the fact that the designers of the first were very young and the group was small, the specimen of « Setun » was ready in Dec. 1958, i.e. in two years since the beginning. « Setun » worked correctly at once without even debugging and began to execute the existing programs. At 1960 it was sufficient amount of programs and it was possible to present « Setun » for the official testing.

Such testing was passed in Apr. 1960 very successfully. The computer demonstrated unusual for that times reliability and stability of operation in wide range of ambient temperature and supply voltage. It was found that the computer is rather simple both in manufacturing and in service, suitable for wide range of applications. « Setun » was recommended for production.

L’article explique ensuite que ce projet a été dédaigné, négligé, et découragé par les autorités officielles, sans que les motifs en soient très clairs.

Unfortunately the officials of the computer production in the USSR had negative position about non-planned and unusual « fruit of university fantasy ». Instead of supporting the innovation and taking a possible profit they permanently attempted to annihilate « ugly duckling ». There were many orders of « Setun », including ones for export, but only 10-15 computers were produced annually and none of them was exported aboard. The planned manufacture of « Setun » in Czechoslovakia was also broken. At 1965 the manufacturing of « Setun » was stopped in spite of unsatisfied requests. It was replaced by a binary computer of the same performance but more than 2.5 times more expensive.

Notez que je n’ai cité que de brefs extraits de ces pages que j’ai trouvées très intéressantes. Les liens proviennent de la page suivante sur Wikipédia:

Système trinaire

Ajoutez-y quelques pages de plus en cherchant sur le web, comme cette simulation en ligne de l’ordinateur Setun:

Mise à jour du lien 2020 http://trinary.ru/projects/setunws/ (c’est une démo en ligne, amusez-vous avec !)

 

  • Setun WS: Emulator of Ternary soviet computer
  • Developed by Alexander Obukhov
  • Version beta.9.2.4

Et un autre, à télécharger sur Sourceforges.

http://sourceforge.net/projects/tunguska/

 

Communiquer sur Internet, E-mail, IRC, Jabber et autres

Voici quelques pistes pour communiquer à l’aide de logiciels et de protocoles libres.

Un nombre de plus en plus grand d’utilisateurs du web débutants communiquent couramment par l’intermédiaire de Facebook, et parfois Twitter… et autres outils propriétaires commerciaux.

Pourtant d’autres moyens de communication libres, eux, existent, sont faciles à utiliser, les logiciels fournis pour les employer sont sous licences libres ainsi que les protocoles qu’ils emploient : ce sont IRC, Jabber, les listes de discussion Usenet, les forums structurés par catégories et sous-catégories…

Toutes les informations peuvent être trouvées sur ce site : Wikipédia Fr et ailleurs sur Internet.

Les communications peuvent/devraient aussi bénéficier d’une certaine confidentialité. Pour communiquer par E-mail, utilisez le chiffrement. À lire : On frappe à la porte, traduit de la page de Richard Stallman « Waiting for the knock ».

Comment utiliser le chiffrement, lorsqu’on ne connaît rien à la technique ? Il suffit de lire les quelques pages de documentation rédigées à l’attention des débutants, et disponible ici : Chiffrer son courriel avec Enigmail.

Installer et configurer Xchat, client IRC (un client IRC est un logiciel vous permettant de communiquer sur des salons utilisant le protocole nommé IRC, pour Internet Relai Chat).

Sabayon 7 Lxde x86 et Sabayon 8 Gnome x86_64

J’essaie Sabayon pour la première fois, après avoir tenté d’en démarrer une version depuis les fichiers extraits de l’image ISO il y a quelques années, en vain… voir l’essai loupé ici:
Sabayon Linux sans CD, loupé

Lien vers le wiki:

HOWTO: Booting Sabayon LiveDVD Image from a USB Device with Grub

Installer sur une clé usb avec Grub legacy; Ne pas utiliser fdisk mais Gparted. Suivre les autres étapes.

Cohabitation Grub legacy – Grub2:

Installer sur une machine avec Grub legacy sur le MBR et le Grub2 fourni avec Sabayon sur l’EBR de la partition d’installation; Utiliser la ligne de boot fournir dans le grub.cfg sous /boot dans la nouvelle installation pour créer le bloc de texte qui convient dans le menu.lst de Grub legacy

Premiers pas après installation:

Utiliser equo, gestionnaire de paquets en ligne de commande, dés le départ. Les premières commandes en root:

equo update && equo install equo entropy sulfur

Cela permet de mettre à jour le gestionnaire de paquets en premier. Dans la foulée, equo a la bonne idée de configurer le dépôt sabayon-weekly. Il fait bien, parce que je ne sais pas dans quel fichier cela se passe (je suppose maintenant que c’est quelque part du côté de /etc/entropy/repositories.conf.d/* mais le premier jour je n’en savais rien… )

Merci à lilltiger du chan IRC #sabayon sur irc.freenode.net, pour son coup de main très utile pour ce qui a suivi:

Utiliser portage conjointement avec entropy, mais avec prudence en suivant le wiki:

HOWTO: Safely mix Entropy and Portage

« # nano /etc/portage/package.use

Add each package there with the USE flags that you want it to have (…) »

J’ai ajouté au fichier package.use cette ligne à la fin:

# Installer Openbox 3.5.0 qui est compilé avec libImlib2-dev
x11-wm/openbox imlib

et à la fin du fichier package.mask cette ligne:

# openbox est géré par portage pour cette fois
x11-wm/openbox

Une fois enregistrés je les ai copiés vers mon home afin de les sauvegarder, suivant ainsi les recommandations du wiki (qui n’indique pas où les conserver, masi conseille d’en faire une copie de sauvegarde).

Puis synchroniser le dépôt portage de Gentoo:

emerge –sync

(une à deux minutes environ sont nécessaires)

emerge -av openbox

Ce qui a produit:

/usr/portage/profiles/updates/3Q-2011……………………..
/usr/portage/profiles/updates/4Q-2011…………………………………………………………………………………………………
/usr/portage/profiles/updates/1Q-2012………
@#####

* An update to portage is available. It is _highly_ recommended
* that you update portage now, before any other packages are updated.

/! * To update portage, run ‘emerge portage’ now.// le wiki prévient bien de ne pas faire ceci !! Ne pas le faire quand on utilise entropy et portage conjointement dans Sabayon.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

comete packages # emerge -av openbox

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

These are the packages that would be merged, in order:

Calculating dependencies… done!
[ebuild     U  ] x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019 [3.5.0-r1] USE= »imlib* nls session startup-notification -debug -static-libs » 465 kB

Total: 1 package (1 upgrade), Size of downloads: 465 kB

!!! The following installed packages are masked:
– net-wireless/broadcom-sta-5.100.82.112-r2::gentoo (masked by: Broadcom license(s))
A copy of the ‘Broadcom’ license is located at ‘/usr/portage/licenses/Broadcom’.

– media-gfx/gimp-2.7.3-r1::gentoo (masked by: package.mask)
/usr/portage/profiles/package.mask:
# Sebastian Pipping <sping@gentoo.org> (31 Aug 2011)
# Upcoming bump, afraid of ~arch for now (bug #283152)

– sci-libs/hdf5-1.8.7::gentoo (masked by: package.mask)
/etc/portage/package.mask:
# Temp. masked

For more information, see the MASKED PACKAGES section in the emerge
man page or refer to the Gentoo Handbook.

Would you like to merge these packages? [Yes/No] No

Quitting.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

En fait je pouvais dire oui. Les messages concernant les autres paquets, qui sont des paquets « masqués », ne sont là qu’à titre informatif.

Donc j’ai relancé la commande et répondu oui, ce qui a installé le nouveau paquet Openbox, avec le flag imlib. Plus exactement les sources ont été téléchargées compilées et installées:

«févr. 17 01:31:47 <lilltiger> melodie: yes, as that question was only about the openbox, and as you see on openbox the imlib flag is added»

ceci pour installer un paquet dont l’option in-dis-pen-sable ne figure pas dans le paquet du dépôt.

Commande finale que j’ai failli oublier:

$ su
Mot de passe :
# equo rescue spmsync
>>  Scanning Source Package Manager and Entropy databases for differences…
>> cannot convert COUNTER for media-gfx/viewnior-1.1,
>>  @@ Quelqu’un a supprimé ces paquets. Ils seraient supprimés de la base de données système:
>>     # media-gfx/viewnior-1.1
>>  — (1/1) >>> Suppression media-gfx/viewnior-1.1
>>  @@ Suppression de la base de données complétée.
>>  @@ Quelqu’un a ajouté ces paquets. Ils seraient ajoutés à la base de données système:
>>    # x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  ++ (1/1) >>> Ajout x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  @@ Mise à jour de la base de données complétée.
#

Information supplémentaire:

«févr. 17 01:35:32 <lilltiger>    melodie: you could do like « emerge –quiet openbox » and it would just install it telling you as little as possible»

libImlib est apparue:

    $ ldd /usr/bin/openbox | grep libImlib
libImlib2.so.1 => /usr/lib64/libImlib2.so.1 (0x00007f2b0b730000)

Ainsi que les icônes.

Avant:

Openbox dans Sabayon 8 Gnome

Après:

Sabayon 8 Gnome + Openbox avec le flag libImlib

Au fait, cette machine se nomme comete.