Compiler Xsnow

Comment compiler xsnow:

xsnow-1.42.tar.gz est ici http://janswaal.home.xs4all.nl/Xsnow

imake contient généralement xmkmf qui est requis.

Pour pouvoir le compiler (needed to build)
imake
gccmakedep
libx11-devel
libxt-devel
libxpm-devel

Une fois que ces paquets sont installés, lire le fichier README:

and once these installed, following the README:

How to compile:
—————
To build:
xmkmf
make depend
make

et voilà ! / is successful

Sabayon 7 Lxde x86 et Sabayon 8 Gnome x86_64

J’essaie Sabayon pour la première fois, après avoir tenté d’en démarrer une version depuis les fichiers extraits de l’image ISO il y a quelques années, en vain… voir l’essai loupé ici:
Sabayon Linux sans CD, loupé

Lien vers le wiki:

HOWTO: Booting Sabayon LiveDVD Image from a USB Device with Grub

Installer sur une clé usb avec Grub legacy; Ne pas utiliser fdisk mais Gparted. Suivre les autres étapes.

Cohabitation Grub legacy – Grub2:

Installer sur une machine avec Grub legacy sur le MBR et le Grub2 fourni avec Sabayon sur l’EBR de la partition d’installation; Utiliser la ligne de boot fournir dans le grub.cfg sous /boot dans la nouvelle installation pour créer le bloc de texte qui convient dans le menu.lst de Grub legacy

Premiers pas après installation:

Utiliser equo, gestionnaire de paquets en ligne de commande, dés le départ. Les premières commandes en root:

equo update && equo install equo entropy sulfur

Cela permet de mettre à jour le gestionnaire de paquets en premier. Dans la foulée, equo a la bonne idée de configurer le dépôt sabayon-weekly. Il fait bien, parce que je ne sais pas dans quel fichier cela se passe (je suppose maintenant que c’est quelque part du côté de /etc/entropy/repositories.conf.d/* mais le premier jour je n’en savais rien… )

Merci à lilltiger du chan IRC #sabayon sur irc.freenode.net, pour son coup de main très utile pour ce qui a suivi:

Utiliser portage conjointement avec entropy, mais avec prudence en suivant le wiki:

HOWTO: Safely mix Entropy and Portage

« # nano /etc/portage/package.use

Add each package there with the USE flags that you want it to have (…) »

J’ai ajouté au fichier package.use cette ligne à la fin:

# Installer Openbox 3.5.0 qui est compilé avec libImlib2-dev
x11-wm/openbox imlib

et à la fin du fichier package.mask cette ligne:

# openbox est géré par portage pour cette fois
x11-wm/openbox

Une fois enregistrés je les ai copiés vers mon home afin de les sauvegarder, suivant ainsi les recommandations du wiki (qui n’indique pas où les conserver, masi conseille d’en faire une copie de sauvegarde).

Puis synchroniser le dépôt portage de Gentoo:

emerge –sync

(une à deux minutes environ sont nécessaires)

emerge -av openbox

Ce qui a produit:

/usr/portage/profiles/updates/3Q-2011……………………..
/usr/portage/profiles/updates/4Q-2011…………………………………………………………………………………………………
/usr/portage/profiles/updates/1Q-2012………
@#####

* An update to portage is available. It is _highly_ recommended
* that you update portage now, before any other packages are updated.

/! * To update portage, run ‘emerge portage’ now.// le wiki prévient bien de ne pas faire ceci !! Ne pas le faire quand on utilise entropy et portage conjointement dans Sabayon.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

comete packages # emerge -av openbox

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

These are the packages that would be merged, in order:

Calculating dependencies… done!
[ebuild     U  ] x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019 [3.5.0-r1] USE= »imlib* nls session startup-notification -debug -static-libs » 465 kB

Total: 1 package (1 upgrade), Size of downloads: 465 kB

!!! The following installed packages are masked:
– net-wireless/broadcom-sta-5.100.82.112-r2::gentoo (masked by: Broadcom license(s))
A copy of the ‘Broadcom’ license is located at ‘/usr/portage/licenses/Broadcom’.

– media-gfx/gimp-2.7.3-r1::gentoo (masked by: package.mask)
/usr/portage/profiles/package.mask:
# Sebastian Pipping <sping@gentoo.org> (31 Aug 2011)
# Upcoming bump, afraid of ~arch for now (bug #283152)

– sci-libs/hdf5-1.8.7::gentoo (masked by: package.mask)
/etc/portage/package.mask:
# Temp. masked

For more information, see the MASKED PACKAGES section in the emerge
man page or refer to the Gentoo Handbook.

Would you like to merge these packages? [Yes/No] No

Quitting.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

En fait je pouvais dire oui. Les messages concernant les autres paquets, qui sont des paquets « masqués », ne sont là qu’à titre informatif.

Donc j’ai relancé la commande et répondu oui, ce qui a installé le nouveau paquet Openbox, avec le flag imlib. Plus exactement les sources ont été téléchargées compilées et installées:

«févr. 17 01:31:47 <lilltiger> melodie: yes, as that question was only about the openbox, and as you see on openbox the imlib flag is added»

ceci pour installer un paquet dont l’option in-dis-pen-sable ne figure pas dans le paquet du dépôt.

Commande finale que j’ai failli oublier:

$ su
Mot de passe :
# equo rescue spmsync
>>  Scanning Source Package Manager and Entropy databases for differences…
>> cannot convert COUNTER for media-gfx/viewnior-1.1,
>>  @@ Quelqu’un a supprimé ces paquets. Ils seraient supprimés de la base de données système:
>>     # media-gfx/viewnior-1.1
>>  — (1/1) >>> Suppression media-gfx/viewnior-1.1
>>  @@ Suppression de la base de données complétée.
>>  @@ Quelqu’un a ajouté ces paquets. Ils seraient ajoutés à la base de données système:
>>    # x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  ++ (1/1) >>> Ajout x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  @@ Mise à jour de la base de données complétée.
#

Information supplémentaire:

«févr. 17 01:35:32 <lilltiger>    melodie: you could do like « emerge –quiet openbox » and it would just install it telling you as little as possible»

libImlib est apparue:

    $ ldd /usr/bin/openbox | grep libImlib
libImlib2.so.1 => /usr/lib64/libImlib2.so.1 (0x00007f2b0b730000)

Ainsi que les icônes.

Avant:

Openbox dans Sabayon 8 Gnome

Après:

Sabayon 8 Gnome + Openbox avec le flag libImlib

Au fait, cette machine se nomme comete.

ACTA pour les nuls – qu’est-ce que ACTA ?

Avez-vous vu ces vidéos et ces articles ?

http://www.youtube.com/v/Qo00pGk8FkQ

Web Action Now

ACTA (Accord Commercial Anti Contrefaçon), un accord qui menace la liberté d’internet. Cet accord vise officiellement à protéger la propriété intellectuelle au niveau international. Jusque là tout va bien.. Mais le terme de « propriété intellectuelle » est volontairement flou. (…)

La seule chose que vous devez savoir à propos d’ACTA, par Rick Falkvinge

On n’a pas le temps de souffler. Après SOPA, c’est ACTA qui est à repousser et avec la plus extrême vigueur. Pourquoi ? Vous le saurez en creux en parcourant ce court et percutant billet de Rick Falkvinge (que l’on traduit souvent actuellement).

Vous le saurez aussi et surtout en vous rendant sur la rubrique dédiée de La Quadrature qui nous fournit une excellente boîte à outils de résistance et mobilisation (sans oublier la pétition en ligne qui témoigne bien de la colère qui gronde).(…)

Faire des paquets pour PCLinuxOS

Je commence à compiler un petit peu trop de paquets. Hier, c’était Pingus en version 0.7.6. Il est trop mignon ce Pingus ! Je ne pouvais pas attendre que la section des demandes de paquets réouvre, soit débordée, et qu’un packageur attendri veuille bien s’en occuper (plus le temps que ça arrive sur les dépôts…)

Je vais essayer de faire d’une pierre deux coups : apprendre à faire un paquet, et produire un tutoriel en français pour que d’autres s’y mettent aisément.

Premièrement, il faut installer le paquet pkgutils, qui installera tout le nécessaire de base.

La suite prochainement…

 

PCLinuxOS Edu Installation

PCLinuxOS Edu Installation

Now that you have logged in as user root, you see the following desktop screen. Double click the Install PCLinuxOS icon on the desktop to start the installation. You can follow each step, referring to this document, or print the document for reference during the steps done while this document is closed.

Click OK to continue.

The installation wizard screen will appear. Click Next to continue.

The disk partitioning window will appear. If you choose to use free space, a partitioning scheme will be suggested. I almost always use the custom disk partitioning method. You may use the free space option if you prefer.

Here I have toggled to expert mode by clicking the button in the lower right corner of the window. It is not mandatory that you do this in order to complete the installation. In the illustration, we are starting with a blank 8 GB hard drive.

The first thing you want to do is create a partition. I prefer to have the SWAP partition at the beginning of the drive. Because the computer has 512 MB of RAM, I will create a SWAP partition of 1024 MB, twice the size of available RAM. This is, generally, a good rule of thumb.

In addition, I chose a primary partition. A hard drive can only have 4 primary partitions. If your partitioning scheme will have more than 4 partitions, make 3 primary partitions. Then, make the 4th partition extended. The extended partition is a container for all the extra partitions. The next screen shows the SWAP partition having been created, and the remaining hard drive space is still unused.

Next, I will use the remaining space to create a single root filesystem partition, which is referred to as “/”. Normally, you would create two partitions here, one for the root filesystem and one for /home. The /home directory is where the users’ individual directories will be created. If you have two users named Jack and Jill, each one’s home directory would be /home/jack and /home/jill, respectively. The reason that you may want to create a separate “home” partition is so that if the operating system is ever reinstalled, the users’ existing data can remain on the hard drive during the reinstall, by simply electing
not to format the
“home” partition.

Once the partitions you want have been created, click Done.

Click OK to the message that the partition table is going to be written to the disk.

The partitions selected for the operating system will be formatted. If you have a separate /home partition, a separate screen will appear with an option to format it or not.

The operating system files are then copied to the selected partitions on the hard drive.

After the files have been copied to the hard drive, the boot loader configuration screen will appear. The default bootloader is GRUB with a graphical screen. There is also a GRUB with text screen option, and a LILO bootloader option. It is best not to use the LILO option for technical reasons. Unless you are going to have more than one operating system installed on the computer, it is best to accept the default boot device option, which will install GRUB to the master boot record of your hard drive. The default timeout before booting is 10 seconds, but you can change it here. If you are taking extra precautions about who can boot the operating system on the computer, you will want to set a boot password here. Note that the bootloader must be set to GRUB with text screen for the boot password option to work.

Unless you have experience with configuring GRUB’s boot menu, it’s best to select the default options here.

Preliminary installation has completed. Click Finish.

At this point, you should review the following steps up to the next login. If you printed this document, refer to it instead. Back on the desktop again, click the blue PC icon and select Logout from the popup menu.

Select Restart from the next popup window. Once the screen turns black, the message “Please press <Enter> once the LiveCD is removed” will be shown. Pressing <Enter> will reboot the PC.

When booting from the hard drive installation, the GRUB menu only has two options. Choosing safe mode will not give you a GUI and will not continue the installation.

The rest of the operating system setup procedure is continued. First, select your timezone from the available choices.

Once your timezone has been selected, select either local time or UTC for your computer’s time clock. In addition, you can elect to synchronize your hardware clock with a NTP (network time protocol) server.

Set a strong password for the root user. Root is the same as the Windows Administrator account and will be used when installing software, setting up hardware, etc. A strong password would be one that is not easily guessed, is not a standard dictionary word, has a mixture of upper and lower case letters, numbers and special characters, and is at least 12 digits in length.

Enter a user’s real name and login name. Note that the login name must consist of lowercase letters, but can include numbers, as well. But, the username cannot begin with a number. A login name is suggested based on what the user’s real name is. For this example, I chose a real name of school, user name of school, and the same for the password. The password here can be as strong or as weak as you wish to make it, based on your usage needs. The computer may be used by several different students, all with the same username. You can also elect later to automatically login that user when the computer is started, which would bypass the need for a strong password or any password at all.

Once completed, the login screen will be displayed.

The method used to install and update software used in a Linux system may seem very different to a Windows or Mac user. When using Windows or Mac OSX, one may buy a program at a retail store to take home and install on the computer. The installation is performed by running a program from the purchased CD which installs the running program on the computer. The other most common method is to search the internet for a program to be used, download a file or group of files to the hard drive, then run the downloaded file or files to install the running program on the computer. One other, less common method, is to install the running program directly from a web page on the internet.

Linux distributions use a package manager to install new programs and to update already installed programs. When the update function is used, all existing programs are updated at once. This is in contrast to Windows, where each program must be updated individually. The Windows method can become tedious very quickly if one wants to keep all programs up to date. The Linux package manager method can be considered as “one stop shopping”, where the search for new programs is done in one place, similar to a shopping mall.

After installing the operating system and logging in, the first thing that should be done is to check for any software updates. You will need root privileges to do this, but you do not need to login as user root. Any time you perform a task that requires root privileges, the system will prompt you for root’s password. Logging in as user root exposes the operating system to security risks, is almost never necessary and is discouraged. To check for software updates, click the Synaptic Package Manager icon in the orange desktop program bar. The icon is shown below.

A window will appear asking for the root password.

After entering the correct password, the package manager Synaptic will start. In the Synaptic window, the first action to be taken is to click the Reload button in the upper left corner. This will check the software repository for all new software.

Once the software database has updated, click the Mark All Upgrades button.

If there are any software updates available, the Apply button will be unghosted. Click the Apply button to install the updates.

A summary window will appear showing what changes are to be made. It is always a good idea to review what will be removed, added or updated.

To see a summary of each category, click the triangular arrow to the left of “To be …” To proceed with the changes, click the Apply button. The packages will be downloaded to your computer in the next step, and a progress bar will be shown.

When the files have finished downloading, the installation process will begin. The window will be titled Applying Changes, and two progress bars will appear.

NOTE: If you received a message that not all files could be downloaded, you will be asked if you wish to proceed anyway. NEVER proceed anyway. Doing so could leave your system in an unstable condition. Click the large Apply button at the top of the Synaptic window again. If all files still cannot be downloaded, close the Synaptic window and try again later. The files already downloaded will remain on your computer’s hard drive, and you can later resume the downloads from where you left off.

Once all changes have been applied, another summary window may appear. This window will contain messages about certain packages that were installed or updated. It is recommended to always read those messages to see if there any special instructions included. You may occasionally receive a message to logout and login or to close all windows and reboot the computer. The best practice is to perform those actions as soon as you have closed Synaptic and quite all other running programs.

To keep your PCLinuxOS Edu installation healthy and running well, you should check for updates at least twice a month. Once a week is even better. You can also install the update-notifier package which will automatically notify you of any new software updates.

To get help if you have questions or encounter any problems, please visit the Openbox section of the PCLinuxOS forum. Your comments and suggestions are welcome.

Budget Telecom FAI… de pointe

Ayant le souhait de changer de FAI, pour cause de tiédeur – mon FAI actuel a des sautes d’humeur dans la connexion et je n’aime pas ça du tout, aussi un nouveau provider… euh, fournisseur de connexion le remplacera-t-il certainement bientôt.

Le choix étant de plus en plus ténu, je vais tout de même voir du côté de mon fournisseur de téléphonie. Après tout côté téléphone ça fait quelques années que les factures sont tout ce qu’il y a de plus raisonnables.

Et là dans les CGU : Conditions Générales d’Utilisation, d’un coup c’est LE DRAME. Bientôt personne ne pourra plus accéder à leurs services ! En effet, à la date tout de même récente du 22/07/2010 dans les conditions applicables on peut lire:
1.5.1 Le Client doit disposer :
– d’une Ligne éligible à l’ADSL.
– d’un ordinateur PC équipé d’un processeur cadencé à 300Mhz minimum et de l’un des systèmes d’exploitation suivants :
Microsoft Windows 98 SE, Millenium, 2000 ou XP
et d’une mémoire vive d’au moins 128 Mégaoctets,
– d’un port USB actif ou d’un port Ethernet et/ou un équipement Wi-Fi (intégré ou externe de type clé),
– d’une Box spécifique fourni par la Société,
– d’un poste téléphonique à fréquence vocale.
L’utilisation des Services hors du cadre ci-dessus se fera sous l’entière responsabilité du Client et sans garantie ni support technique de la part de la Société.
Voici les références:

http://www.club-budget.fr/Pages/Societe/cgv_club_budget.pdf

J’ai trouvé ça très drôle… pas vous ? 😀

D’autant que seules tournent régulièrement chez nous… des distributions GNU/Linux diverses z’et variées o/ !

Xorg auto et mon driver graphique

Voici une ligne de commande magique pour découvrir ce que la configuration automatique de Xorg a prévu d’utiliser pour faire fonctionner votre carte graphique:

sudo lshw -C video | grep driver

Merci à genii du chan #ubuntu (server freenode) pour l’astuce.

Alors sous Ubuntu Remix, un N210 (chipset NM 10 intégré au cpu),se voit attribuer un driver Intel i915.  😐

Et la résolution est parfaite. Puis le direct rendering fonctionne d’emblée ! Mais où va-t-on s’il n’y a plus à passer du temps à se prendre la tête ni plus rien à configurer ? 😀

Multiboot sur USB

Voici une méthode pour booter tour à tour plusieurs distributions GNU/Linux sur une clé usb. (Sous condition que la machine sur laquelle vous démarrerez le permette, et que vous ayez configuré le démarrage sur USB dans la section de boot du bios)

J’ai une clé usb de 4 Go, et je veux pouvoir démarrer une Ubuntu, une Slitaz, une PCLinuxOS, le tout avec simplicité si possible.

Pour faire les tests au fur et à mesure des essais, j’ai installé qemu et kqemu, j’ai chargé le module kqemu, et lancé cette commande:

qemu -usb /dev/sdc -kernel-kqemu

sachant que la clé usb est vue comme étant /dev/sdc, une fois celle-ci insérée dans le connecteur.

La clé est formattée en fat32 très classiquement et aucun flag n’y est mis au préalable.

Dans la clé, il y a:

boot/grub et dedans les fichiers fat_stage1_5 menu.lst  stage1  stage2

Quand on lance la commande « blkid », on peut lire:

/dev/sdc1: UUID= »4ECB-37F6″ TYPE= »vfat »

La partition contenant ce répertoire /boot/grub avec les fichiers dedans est donc vue comme /dev/sdc1

Le fichier menu.lst se compose comme suit:

title Ubuntu Netbook Remix
kernel /casper/vmlinuz boot=casper quiet splash —
initrd /casper/initrd.lz

title Ubuntu Netbook Remix Safemode
kernel /casper/vmlinuz boot=casper safemode quiet splash —
initrd /casper/initrd.lz

title Ubuntu Netbook Remix IDE Generic
kernel /casper/vmlinuz boot=casper quiet splash ide.all_generic.ide=1 —
initrd /casper/initrd.lz

title slitaz
kernel /boot/slitaz/bzImage
initrd /boot/slitaz/rootfs.gz
boot

title PCLxde
kernel (hd0,0)/isolinux/vmlinuz livecd=livecd root=/dev/rd/3 keyb=fr acpi=on vga=788 splash=silent fstab=rw,noauto —
initrd (hd0,0)/isolinux/initrd.gz

title PCLxde Video_SafeMode_FBDevice
kernel (hd0,0)/isolinux/vmlinuz livecd=livecd root=/dev/rd/3 keyb=fr acpi=on vga=788 splash=silent fstab=rw,noauto framebuffer —
initrd (hd0,0)/isolinux/initrd.gz

title PCLxde Video_SafeMode_Vesa
kernel (hd0,0)/isolinux/vmlinuz  livecd=livecd root=/dev/rd/3 keyb=fr acpi=on vga=788 splash=silent fstab=rw,noauto vesa —
initrd (hd0,0)/isolinux/initrd.gz

En effet, hormis Slitaz, les deux autres distributions se voient offrir trois menus de boot au choix, pour le cas où l’un échoue, selon les configurations rencontrées.

Si vous recopiez ceci directement depuis l’interface du blog, vous risquez de rencontrer des soucis dûs aux différences d’encodage.

J’ajouterai un fichier à télécharger à la fin de l’article.

Vous allez devoir repérer le nommage de votre clé USB, si vous voulez faire quelque chose d’identique. Si vous avez comme moi, deux disques durs dont un maitre et un slave, plus la clé usb, vous pourriez rencontrer ceci lorsque vous lancerez GRUB (en root dans une console) pour l’installer sur le MBR (premier secteur de disque) de la clé usb:

GNU GRUB  version 0.97  (640K lower / 3072K upper memory)

[ Minimal BASH-like line editing is supported.  For the first word, TAB
lists possible command completions.  Anywhere else TAB lists the possible
completions of a device/filename. ]

grub> root (hd
Possible disks are:  hd0 hd1 hd2

grub> root (hd2,0)
Filesystem type is fat, partition type 0xb

grub> setup (hd
Possible disks are:  hd0 hd1 hd2

grub> setup (hd2)
Checking if « /boot/grub/stage1 » exists… yes
Checking if « /boot/grub/stage2 » exists… yes
Checking if « /boot/grub/fat_stage1_5 » exists… yes
Running « embed /boot/grub/fat_stage1_5 (hd2) »…  15 sectors are embedded.
succeeded
Running « install /boot/grub/stage1 (hd2) (hd2)1+15 p (hd2,0)/boot/grub/stage2 /boot/grub/menu
.lst »… succeeded
Done.

grub>

Notez ces deux lignes au début:

grub> root (hd
Possible disks are:  hd0 hd1 hd2

Ci-dessus, après grub> root (hd j’ai juste appuyé sur la touche tab, qui a produit «Possible disks are:  hd0 hd1 hd2» en guise de complétion. Puis, lorsque j’ai inscrit à la ligne suivante:
grub> root (hd2,0)
Filesystem type is fat, partition type 0xb

«grub> root (hd2,0)» le shell de GRUB a répondu en précisant qu’il s’agit d’un système de type fat. Ce qui me confortait dans l’idée qu’il s’agissait bien du périphérique USB.

Une fois cela certain, la commande suivante, «setup (hd2)» est ok pour installer GRUB sur le MBR de la clé USB. (Et non pas sur un des disques durs déjà présents dans votre machine… au risque de mettre la pagaille dans le démarrage de vos partitions).

Ce qui va avec ce menu.lst, ce sont les répertoires suivants:

Pour Slitaz, sous le répertoire boot/ :

$  ls slitaz/
bzImage  rootfs.gz

Pour Ubuntu, sous la racine de la clé USB:

$ ls casper/
filesystem.manifest  filesystem.manifest-desktop  filesystem.squashfs  initrd.lz  vmlinuz

et puis aussi:

$ ls .disk/
base_installable  casper-uuid-generic  cd_type  info

Pour PCLinuxOS, tout le répertoire isolinux, avec son contenu complet et sous la racine de la clé USB, son fichier livecd.sqfs.

Enfin, pour chacune de ces isos, montond les isos en loop : ouvrez une console dans le répertoire où l’iso est située, et en mode administrateur:

mount -o loop image.iso /chemin/vers/point/de/montage

J’ai tenté quelques fois d’utiliser mc et d’entrer directement dans l’image iso, ça semble fonctionner, mais une vérification avec md5sum après la copie m’a montré que c’était une mauvaise idée.

Pour tester, relisez le début de ce billet.

Vous pouvez récupérer le fichier de configuration de Grub: menu.lst (clic-droit, Enregistrer la cible du lien sous )

Internet dans les Hautes Corbières

Pensez-vous que toute la France ait Internet ? Ben oui, surement ! Oh il y a bien encore quelques coins où il n’y a que le RTC, mais de moins en moins direz-vous !

Eh bien détrompez-vous ! C’est à tel point que certaines régions, certains villages ne peuvent même pas fournir une nouvelle ligne téléphonique fixe pour les nouveaux logements, destinés à de nouveaux habitants, qui viennent pour profiter d’une belle région.

Belle région oui, mais quel retard ! Plutôt que de répéter ce qui a déjà été dit, je vous invite à visiter le Blog WordPress (youpi ! un blog WordPress !) sur le Tamtam des Hautes Corbières, (Enfin, un billet), vous verrez, c’est épatant !

Internet dans les Hautes Corbières

Pensez-vous que toute la France ait Internet ? Ben oui, surement ! Oh il y a bien encore quelques coins où il n’y a que le RTC, mais de moins en moins direz-vous !

Eh bien détrompez-vous ! C’est à tel point que certaines régions, certains villages ne peuvent même pas fournir une nouvelle ligne téléphonique fixe pour les nouveaux logements, destinés à de nouveaux habitants, qui viennent pour profiter d’une belle région.

Belle région oui, mais quel retard ! Plutôt que de répéter ce qui a déjà été dit, je vous invite à visiter le Blog WordPress (youpi ! un blog WordPress !) sur le Tamtam des Hautes Corbières, (Enfin, un billet), vous verrez, c’est épatant !