Sabayon 7 Lxde x86 et Sabayon 8 Gnome x86_64

J’essaie Sabayon pour la première fois, après avoir tenté d’en démarrer une version depuis les fichiers extraits de l’image ISO il y a quelques années, en vain… voir l’essai loupé ici:
Sabayon Linux sans CD, loupé

Lien vers le wiki:

HOWTO: Booting Sabayon LiveDVD Image from a USB Device with Grub

Installer sur une clé usb avec Grub legacy; Ne pas utiliser fdisk mais Gparted. Suivre les autres étapes.

Cohabitation Grub legacy – Grub2:

Installer sur une machine avec Grub legacy sur le MBR et le Grub2 fourni avec Sabayon sur l’EBR de la partition d’installation; Utiliser la ligne de boot fournir dans le grub.cfg sous /boot dans la nouvelle installation pour créer le bloc de texte qui convient dans le menu.lst de Grub legacy

Premiers pas après installation:

Utiliser equo, gestionnaire de paquets en ligne de commande, dés le départ. Les premières commandes en root:

equo update && equo install equo entropy sulfur

Cela permet de mettre à jour le gestionnaire de paquets en premier. Dans la foulée, equo a la bonne idée de configurer le dépôt sabayon-weekly. Il fait bien, parce que je ne sais pas dans quel fichier cela se passe (je suppose maintenant que c’est quelque part du côté de /etc/entropy/repositories.conf.d/* mais le premier jour je n’en savais rien… )

Merci à lilltiger du chan IRC #sabayon sur irc.freenode.net, pour son coup de main très utile pour ce qui a suivi:

Utiliser portage conjointement avec entropy, mais avec prudence en suivant le wiki:

HOWTO: Safely mix Entropy and Portage

« # nano /etc/portage/package.use

Add each package there with the USE flags that you want it to have (…) »

J’ai ajouté au fichier package.use cette ligne à la fin:

# Installer Openbox 3.5.0 qui est compilé avec libImlib2-dev
x11-wm/openbox imlib

et à la fin du fichier package.mask cette ligne:

# openbox est géré par portage pour cette fois
x11-wm/openbox

Une fois enregistrés je les ai copiés vers mon home afin de les sauvegarder, suivant ainsi les recommandations du wiki (qui n’indique pas où les conserver, masi conseille d’en faire une copie de sauvegarde).

Puis synchroniser le dépôt portage de Gentoo:

emerge –sync

(une à deux minutes environ sont nécessaires)

emerge -av openbox

Ce qui a produit:

/usr/portage/profiles/updates/3Q-2011……………………..
/usr/portage/profiles/updates/4Q-2011…………………………………………………………………………………………………
/usr/portage/profiles/updates/1Q-2012………
@#####

* An update to portage is available. It is _highly_ recommended
* that you update portage now, before any other packages are updated.

/! * To update portage, run ‘emerge portage’ now.// le wiki prévient bien de ne pas faire ceci !! Ne pas le faire quand on utilise entropy et portage conjointement dans Sabayon.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

comete packages # emerge -av openbox

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

These are the packages that would be merged, in order:

Calculating dependencies… done!
[ebuild     U  ] x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019 [3.5.0-r1] USE= »imlib* nls session startup-notification -debug -static-libs » 465 kB

Total: 1 package (1 upgrade), Size of downloads: 465 kB

!!! The following installed packages are masked:
– net-wireless/broadcom-sta-5.100.82.112-r2::gentoo (masked by: Broadcom license(s))
A copy of the ‘Broadcom’ license is located at ‘/usr/portage/licenses/Broadcom’.

– media-gfx/gimp-2.7.3-r1::gentoo (masked by: package.mask)
/usr/portage/profiles/package.mask:
# Sebastian Pipping <sping@gentoo.org> (31 Aug 2011)
# Upcoming bump, afraid of ~arch for now (bug #283152)

– sci-libs/hdf5-1.8.7::gentoo (masked by: package.mask)
/etc/portage/package.mask:
# Temp. masked

For more information, see the MASKED PACKAGES section in the emerge
man page or refer to the Gentoo Handbook.

Would you like to merge these packages? [Yes/No] No

Quitting.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

En fait je pouvais dire oui. Les messages concernant les autres paquets, qui sont des paquets « masqués », ne sont là qu’à titre informatif.

Donc j’ai relancé la commande et répondu oui, ce qui a installé le nouveau paquet Openbox, avec le flag imlib. Plus exactement les sources ont été téléchargées compilées et installées:

«févr. 17 01:31:47 <lilltiger> melodie: yes, as that question was only about the openbox, and as you see on openbox the imlib flag is added»

ceci pour installer un paquet dont l’option in-dis-pen-sable ne figure pas dans le paquet du dépôt.

Commande finale que j’ai failli oublier:

$ su
Mot de passe :
# equo rescue spmsync
>>  Scanning Source Package Manager and Entropy databases for differences…
>> cannot convert COUNTER for media-gfx/viewnior-1.1,
>>  @@ Quelqu’un a supprimé ces paquets. Ils seraient supprimés de la base de données système:
>>     # media-gfx/viewnior-1.1
>>  — (1/1) >>> Suppression media-gfx/viewnior-1.1
>>  @@ Suppression de la base de données complétée.
>>  @@ Quelqu’un a ajouté ces paquets. Ils seraient ajoutés à la base de données système:
>>    # x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  ++ (1/1) >>> Ajout x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  @@ Mise à jour de la base de données complétée.
#

Information supplémentaire:

«févr. 17 01:35:32 <lilltiger>    melodie: you could do like « emerge –quiet openbox » and it would just install it telling you as little as possible»

libImlib est apparue:

    $ ldd /usr/bin/openbox | grep libImlib
libImlib2.so.1 => /usr/lib64/libImlib2.so.1 (0x00007f2b0b730000)

Ainsi que les icônes.

Avant:

Openbox dans Sabayon 8 Gnome

Après:

Sabayon 8 Gnome + Openbox avec le flag libImlib

Au fait, cette machine se nomme comete.

Télécharger sans en perdre

Comment  s’assurer qu’un téléchargement sera bien fait ?

Quand vous avez une distribution GNU/Linux à télécharger, ou un Logiciel libre pour Windows ⁽™⁾, ou un fichier quel qu’il soit, dont l’intégrité compte pour la suite de ce que vous voulez faire, se pose le choix du programme à utiliser.

Avez-vous un logiciel assurant l’intégrité des téléchargements ? Si c’est
non, prenez celui-ci (la version lite peut suffire):
http://www.freedownloadmanager.org/download.htm

(bien entendu, il est sous une licence libre, reconnue par la FSF (Free Software Foundation)

à moins que vous ne veuillez le faire en ligne de commande avec wget.exe (si vous aimez vous prendre le chou avec des programmes de geeks) : http://users.ugent.be/~bpuype/wget/

Vous pouvez aussi le télécharger directement, en ce cas choisissez un
navigateur web qui ne perde pas des portions de données pendant le téléchargement (contrairement à un certain ‘e’ bleu, même s’il a une écharpe jaune maintenant) par exemple Kmeleon ou Firefox, ou Flock

Créer une passerelle avec iptables

Je ne comprends pas grand-chose aux réseaux, bien que je les utilise, d’une manière ou d’une autre. Par exemple, aller sur internet, configurer une connexion en ethernet ou en wifi, ou utiliser un réseau local. (avec ssh, sshfs… )

Là je voulais avoir une machine en passerelle : un portable connecté à Internet en wifi, et la machine cliente connectée à la passerelle est un autre portable, relié par l’interface eth0 (donc un cable ethernet).

Alors, merci aux archers qui m’ont aidée sur le chan #archlinux-fr (serveur freenode) : CalimeroTecnik, quinq, et tuxce. Après avoir suivi leurs indications, tout fonctionne parfaitement.

Voici le résumé de l’opération. Après avoir installé le paquet iptables:

server : wlan0 lui fournit internet, eth0 est connecté sur un pc client qui veut internet.

1/activer le transfert de paquets au niveau du noyau (/proc etc)
server=> echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward

2/activer le NAT sur ta passerelle
server=> iptables -t nat -A POSTROUTING -o wlan0 -j SNAT –to-source 192.168.1.32

3/monter un réseau ethernet entre les deux PCs
server=> ifconfig eth0 192.168.0.3

client=> ifconfig eth0 192.168.0.9
client=> route add default gw 192.168.0.3
client=> echo nameserver 208.67.222.222 > /etc/resolv.conf

/! Veiller à avoir une famille d’ip différente sur les deux interfaces réseau: ici sur
eth il y a 192.168.0.xxx et sur wlan il y a 192.168.1.xxx

/! Les adresses des réseaux sont choisies en fonction du réseau déjà existant. Ici, l’ip du
client sur l’interface eth0 était déjà configurée dans le système, j’ai donc réutilisé la même. Autrement, on peut choisir n’importe laquelle, du moment que c’est dans la bonne famille d’adresse (l’avant-dernier groupe de chiffres)

Enfin, il faut aussi faire attention au DNS qui est configuré dans le fichier /etc/resolv.conf de la passerelle.

Chez moi, il y avait le DNS du routeur Adsl, c’est à dire son ip, alors que je passe d’abord par le routeur wifi… en mettant les DNS de chez OpenDNS, ça fonctionne… Vous pouvez aussi mettre les DNS de votre fournisseur d’accès internet, (FAI), ou encore les DNS de OpenNic, ça devrait fonctionner tout aussi bien.

Optimiser Firefox (sous GNU/Linux)

Les bases sqlite3 ont besoin d’être nettoyées de temps en temps. Les fichiers du sous-répertoire .mozilla/firefox/ dont les noms comportent la chaîne « sqlite » en seront allégés.

Lancer en mode utilisateur, depuis son /home ou depuis le répertoire .mozilla (ou depuis son sous-répertoire firefox) la ligne de commande suivante:

find . -name ‘*sqlite*’ -exec sqlite3 {} ‘vacuum’ ;

Elle pourra être précédée d’une commande destinée à lister les fichiers depuis le répertoire .mozilla concernés, comme ceci : find . -name ‘*sqlite*’ -exec ls -l {} ; *

Cette dernière, lancée une fois avant et une fois après la commande comportant «vacuum», permettra d’apprécier le gain de place sur chacun des fichiers listés.

Une autre modification pouvant apporter un plus, vous êtes par exemple en train de surfer… (que faire d’autre avec un navigateur web ? 😉 et puis vous ne pouvez plus afficher certaines pages, elles renvoient tout au plus un message disant que la page n’est pas accessible (pas une erreur 404 mais ça y ressemble).

Il peut y avoir une page coincée dans le cache DNS de Firefox (où est-il celui-là ?). Pour le désactiver, une solution est proposée sur Commentcamarche.net : Supprimer le cache DNS de Mozilla Firefox.

Ainsi, pour totalement désactiver le cache DNS il suffit de suivre la procédure suivante :

  • Dans la barre d’adresses de Firefox, saisir « about:config »
  • Cliquer avec le bouton droit dans la liste, puis cliquer sur nouvelle / valeur numérique,
  • Saisir network.dnsCacheExpiration, puis valider
  • Saisir la valeur 0, puis valider à nouveau.

* Mise à jour 18/10/2016 : les commandes suivantes fonctionnent
$ for i in *.sqlite; do echo "vacuum;" | sqlite3 $i ; done

ou bien cette ligne de commande pour compresser tous les profils:
$ for f in ~/.mozilla/firefox/*/*.sqlite; do sqlite3 $f "vacuum;"; done

Source (modifié de sorte à ce que ça fonctionne, le shell n’aimant pas les majuscules dans ce cas, ni les guillemets à la française):

http://monubuntu.com/html/ubuntu/96.optimiser_firefox.php

Et pour lister les fichiers, ce sera cette ligne de commande:

$ find . -name '*sqlite*' ; -exec ls -l {} \;

 

Proxy cache Polipo

Voici une alternative à Squid, à essayer à l’occasion. Polipo permet tout comme Squid, de rendre la navigation sur Internet plus confortable, pour les connexions internet de faible capacité, tout en prenant moins sur les ressources de la machine où il est installé.

Polipo – a caching web proxy : http://www.pps.jussieu.fr/~jch/software/polipo/

Polipo is a small and fast caching web proxy (a web cache, an HTTP proxy, a proxy server). While Polipo was designed to be used by one person or a small group of people, there is nothing that prevents it from being used by a larger group.

Sous Archlinux, il y a des PKGBUILDS sur AUR:

1 aur/polipo 1.0.4-3 (48)
A small and fast caching web proxy.

2 aur/polipo-darcs darcs-2 (2)

A small and fast HTTP proxy (can be used with Tor)

Comment localiser PCLinuxOS

Depuis très peu de jours, pinoc, développeur chez PCLinuxOS, a sorti une nouvelle version de sa récente création, nommée « addlocale ». C’est la version 1.7, qui permet une localisation optimale des paquets, en fonction des locales déjà disponibles.

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Sysrq ou les touches magiques

Les touches magiques c’est bien. Quand tout est planté même le clavier, ça peut permettre de reprendre la main, ou au pire de rebooter sans toucher aux boutons physiques de la machine.

Voici une liste des commandes pouvant être employées, présentées par « Le petit journal d’un linuxien novice ».

Si cette option sysrq ne fonctionne pas dans votre distribution, il est possible d’en activer l’option dans /etc/sysctl.conf : kernel.sysrq = 1

Merci à tuxce de archlinux.fr pour cette information fournie il y a quelques temps déjà. Il ajoutait sur ce fil de discussion:

pour la prise en compte sans redémarrage : echo 1 > /proc/sys/kernel/sysrq

puis lors d’un blocage: shift+alt+sysrq+r passe le évenements clavier directement au noyau et un ctrl+alt+f1 devient possible.

Installer WordPress dans Archinux (en local)

Ce sera une installation en local. Cela consiste à installer le serveur Lighttpd, le client et le serveur de base de données mysql, les dépendances s’il y en a (du moins celles qui sont obligatoires, mais pas les autres) et php ainsi que ses dépendances.

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Comment partitionner avec Gparted

Dans le cadre de l’entraide aux plus débutants sous GNU/Linux, je lis souvent des demandes d’aide pour partitionner le disque dur.

J’ai réalisé hier un petit tutoriel vidéo pour illustrer la méthode du partitionnement. Pour cela, j’ai téléchargé la version 2.5 de Gparted : pourquoi la 2.5 alors qu’on en est à la 4.0 ? Parce qu’elle est simple, et fonctionne bien ! Mais si vous voulez la plus récente, servez-vous ! Cela ne coûte pas plus cher !  😀

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xorg.conf pour reconnaissance résolutions

Le modèle de xorg.conf suivant est fait pour servir de modèle, pas pour remplacer n’importe quel xorg.conf n’importe comment. Je l’ai produit à partir du modèle fait par la commande Xorg -configure, auquel j’ai ajouté des modelines et quelques trucs pris sur un xorg.conf généré par videoconfig sous Zenwalk Live, le tout revu et corrigé d’un coup de ‘nvidia-xconfig’ dans la console. (Lequel à ce jour se charge surtout de supprimer tout ce qui est commentaire, ce qui est un peu discutable quand même).

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