Comment localiser PCLinuxOS

Depuis très peu de jours, pinoc, développeur chez PCLinuxOS, a sorti une nouvelle version de sa récente création, nommée « addlocale ». C’est la version 1.7, qui permet une localisation optimale des paquets, en fonction des locales déjà disponibles.

J’ai fait il y a quelques semaines déjà une installation de PCLinuxOS version 2009, à laquelle je n’ai presque rien touché, dans le but de créer un remaster, avec le fameux script fait pour, et présent dans les menus : mklive.

À noter que je n’ai pas tout d’installé dans cette version, car pour descendre sous la limite de 700 Mo, j’ai supprimé tous les paquets Openoffice, et les paquets relatifs aux dictionnaires utilisés avec Openoffice.org. J’ai tout de même installé Abiword + son plugin qui permet d’afficher des fichiers au format msword, ainsi que celui qui permet l’export des pdf, plus les dépendances qui s’ensuivent bien sûr.

Mon installation se dote donc d’utilisateurs identiques à ceux qu’on trouve dans le Live CD (qui sert également à l’installation).

Pour démarrer une session en utilisateur : login guest et mot de passe guest, en root, utilisateur root et mot de passe root.

Une fois ce remaster fait, (il utilise 686 Mo d’espace disque, et pourra donc être contenu sur un simple CD), je l’essaie en mode virtuel, avec Virtualbox, et là eh bien il lui manque le driver pour la carte graphique virtuelle.

Je me suis alors loguée en root, j’ai lancé Xfdrake, le programme de configuration de X, et il a d’abord installé le paquet task-X11, puis les paquets nécessaires pour la carte graphique de la machine virtuelle.

Ce travail devrait ensuite se retrouver dans la machine virtuelle une fois la distribution virtuelle live installée sur son disque dur virtuel.

Je me suis ensuite déconnectée (commande « exit ») puis me suis reconnectée en utilisateur : guest, et mot de passe guest. J’ai lancé alors la commande « startx », et le bureau s’est affiché.

Après, j’ai lancé Gparted (si on ne trouve pas aisément dans les menus, le champs de recherche « Search » permet de trouver le menu de la commande plus rapidement) et j’ai partitionné le disque dur virtuel (un simple swap de 750 mo et le reste des 8 Go en disque dur extensible pour le système, car pour une machine virtuelle un /home séparé n’est pas très utile).

Puis, il faut trouver la commande d’installation : je n’ai pas le raccourci pour celle-ci sur le bureau, comme sur le live CD d’origine (ce sera un point à éclaircir et améliorer).

La commande est /usr/bin/install-pclos. Il faut ouvrir une console, passer root (« su » suivi du mot de passe : « root » tout ceci sans les guillemets).

Puis, il suffit de suivre les instructions.

Afin de faire un futur remaster mieux fini, j’ai créé un fichier texte que j’ai nommé « Installation » et que j’ai doté des droits d’exécution. Il contient simplement la commande /usr/bin/install-pclos, et une fois qu’on l’a sur le bureau, il suffit de double-cliquer dessus pour démarrer l’installation.

Je l’ajouterai à la distribution installée, avant de faire le prochain remaster.

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