Internet dans les Hautes Corbières

Pensez-vous que toute la France ait Internet ? Ben oui, surement ! Oh il y a bien encore quelques coins où il n’y a que le RTC, mais de moins en moins direz-vous !

Eh bien détrompez-vous ! C’est à tel point que certaines régions, certains villages ne peuvent même pas fournir une nouvelle ligne téléphonique fixe pour les nouveaux logements, destinés à de nouveaux habitants, qui viennent pour profiter d’une belle région.

Belle région oui, mais quel retard ! Plutôt que de répéter ce qui a déjà été dit, je vous invite à visiter le Blog WordPress (youpi ! un blog WordPress !) sur le Tamtam des Hautes Corbières, (Enfin, un billet), vous verrez, c’est épatant !

Internet dans les Hautes Corbières

Pensez-vous que toute la France ait Internet ? Ben oui, surement ! Oh il y a bien encore quelques coins où il n’y a que le RTC, mais de moins en moins direz-vous !

Eh bien détrompez-vous ! C’est à tel point que certaines régions, certains villages ne peuvent même pas fournir une nouvelle ligne téléphonique fixe pour les nouveaux logements, destinés à de nouveaux habitants, qui viennent pour profiter d’une belle région.

Belle région oui, mais quel retard ! Plutôt que de répéter ce qui a déjà été dit, je vous invite à visiter le Blog WordPress (youpi ! un blog WordPress !) sur le Tamtam des Hautes Corbières, (Enfin, un billet), vous verrez, c’est épatant !

Surfer sans traces selon Riseup

j’ai un hébergement chez Riseup.net depuis une paire d’années, après avoir demandé un hébergement pour une liste de discussions. Je reçois régulièrement le courrier de cette organisation américaine sans but lucratif.

Cette lettre est envoyée en plusieurs langues, et je m’en viens faire un simple copié collé de la partie en français.

Dans le contexte actuel que je nommerais volontiers hystérie sécuritaire, je pense que l’idée de protéger ses informations personnelles n’a rien d’idiot. On surfe ici et là, sans faire toujours  attention aux informations que nous générons sur notre passage, et à l’usage que les sites visités peuvent en faire. Pourtant nous devrions nous en soucier…

From: (newsletter at lists dot riseup dot net)
To: (newsletter at lists dot riseup dot net)
Subject: [riseup] newsletter / butlletí/ boletín de noticias / bulletin / Ενημερωτικό δελτίο / biuletyn / boletim

Date: Mon, 01 Mar 2010 00:36:06 -0800
Lettre de février 2010
Édition spéciale Google

Édition spéciale Google

Sommaire

* Google: intrusif et maléfique
* Comment protéger votre vie privée en ligne ?

Google: intrusif et maléfique

—————————–

Le crédo de Google: « don’t be evil » (« ne pas être mauvais »), a été l’une
des clés de la réussite de la compagnie. Quand Google est entré en
scène, il a été le seul moteur de recherche à ne pas privilégier les
pages des annonceurs publicitaires, un facteur significatif de la
progression rapide de Google. Récemment, Le PDG Eric Schmidt précisa que
Google « essaye de ne pas traverser ce que nous appelons la ligne
insidieuse (creepy line) » pour ce qui concerne l’enregistrement de
données personnelles [1]. Peut-être que le nouveau crédo de Google
devrait être « don’t be creepy » (ne pas être insidieux).

Cependant, Eric Schmidt n’a pas perdu de temps pour traverser la ligne
insidieuse en décembre quand il a répondu lors d’une entrevue que, « s’il
y a des choses que vous ne voulez pas que d’autres sachent, peut-être
qu’en premier lieu, vous devriez pas les faire ». Ainsi, le numéro un de
l’entreprise possédant le plus de données de surveillance au monde
venait d’annoncer que si vous êtes « innocent », vous ne devriez rien
avoir à cacher. Comme beaucoup de personnes l’ont notée, l’annonce de
Schmidt est hypocrite et dérangeante [2][3]. La logique en est
pratiquement identique à l’affirmation totalitaire qui dit que si vous
voulez la liberté de parole, vous ne devriez rien dire de controversé.

Les commentaires d’Eric Schmidt sont particulièrement troublants à la
lumière des récentes modification du plan d’action de Google. En mars
2009, Google a inversé sa politique longuement tenue contre la
surveillance comportementale [4]. Maintenant, Google traque les
habitudes des internautes (que vous soyez inscrits chez Google ou pas)
afin de leur envoyer des publicités mieux ciblées. En février 2010, le
Washington Post révéla que Google avait encore inversé sa politique en
créant un partenariat de partage d’information avec la NSA (l’agence
d’espionnage électronique ultra-secrète du gouvernement américain) afin
de combattre les « cyber-attaques » [5].

Dans les deux cas, on nous dit de ne pas nous inquiéter car Google ne
partagera que des données qui auront été anonymisées (c-à-d que les
informations permettant d’identifier les personnes auront été
supprimées). Mais il y a un tas de raison qui devraient nous alarmer. De
récentes recherches ont montré comment les sites sociaux donnent de
larges quantités d’informations personnelles à leurs partenaires
publicitaires [6] et comment il est très difficile de créer un ensemble
de données qui ne puisse pas être désanonymisé [7][8][9].

En fait, le département américain de la défense a une nouvelle
initiative basée exactement sur ce principe [10]. Appelé ‘Digital DNA’
(‘ADN numérique’), son but est de développer une base d’empreintes
électroniques ressemblant beaucoup aux bases de prélèvement ADN stockées
par de nombreux gouvernement. Le but en est précisément d’identifier les
individus à partir des données communément admises comme anonymes — les
infimes traces électroniques que nous laissons derrière nous à chaque
fois qu’on utilise un ordinateur.

En dépit de tout cela, Google continue d’assurer à ses utilisateurs
qu’il n’y a rien à craindre. Après tout, si vous avez beaucoup de temps
à votre disposition, vous pouvez utiliser le tableau de bord de Google
afin d’ajuster tout un tas de paramètres « auto-contrôlés » de
confidentialité. Le problème est que ce tableau de bord ne s’applique
qu’aux données directement liées à un compte Google et qu’il ignore
toutes les nombreuses façons qu’a Google de retenir des données
personnelles sur vous de manière indirecte et facilement
repersonnalisables. Par exemple, ça ne vous permet pas de supprimer les
données de localisation géographique que Google retient sur vous à
chaque fois que vous envoyez un mail à un utilisateur de Google mail.

Google veut notre confiance. Il nous est demandé d’avoir foi en le
magicien derrière le rideau qui contrôle le plus grand assemblage de
données que le monde ait jamais connu. Le nouveau crédo de Google est
clair: « Ne pas être si mauvais que cela puisse être vu ». Nous commençons
à le voir.

Comment protéger votre vie privée en ligne ?
—————————————————-

Travailler sur cette problématique est véritablement un problème social,
pas un problème personnel. Demander aux individu-e-s de passer beaucoup
de temps à pratiquer une « hygiène de vie privée » (‘privacy hygiene’) est
à la fois impraticable et politiquement douteux. Créer de la vie privée
en ligne, suivant notre opinion, devrait être communément fait en
soutenant les alternatives.

Pourtant, nous proposons quelques mesures, essentiellement à « installer
et oublier », qui ne demandent pas une maintenance continue et
fastidieuse.

Si vous utilisez Firefox, un navigateur web que nous recommandons
(http://help.riseup.net/mail/#use_firefox), vous pouvez installer
diverses extensions à utiliser en surfant. Firefox est un logiciel
libre, et des membres de la communauté ont écrit des logiciels pour y
ajouter de nombreuses fonctionnalités, et tout le monde peut télécharger
ces extensions (voir https://addons.mozilla.org/ pour plus
d’informations sur les extensions de Firefox).

Voici quelques extensions Firefox que nous recommandons:

* GoogleSharing (https://we.riseup.net/help/googlesharing)
* Targeted Advertising Cookie Opt-Out (TACO) (http://taco.dubfire.net/)
* Adblock Plus (http://adblockplus.org/en/)

Vous pouvez également effectuer vos recherches web sur
https://ssl.scroogle.org/

—————————————————-
[1] « Google trying not to cross ‘the creepy line' »
http://news.cnet.com/8301-30684_3-10392435-265.html

[2] « Google CEO Eric Schmidt Dismisses the Importance of Privacy »
http://www.eff.org/deeplinks/2009/12/Google-ceo-eric-schmidt-dismisses-privacy

[3] « My Reaction to Eric Schmidt »

My Reaction to Eric Schmidt

[4] « Privacy Groups Rip Google’s Targeted Advertising Plan »
http://www.pcworld.com/businesscenter/article/161086/privacy_groups_rip_googles_targeted_advertising_plan.html

[5] « Google to enlist NSA to help it ward off cyberattacks »
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2010/02/03/AR2010020304057.html

[6] « Social networks make it easy for 3rd parties to identify you »
http://arstechnica.com/security/news/2009/09/which-user-clicked-on-viagra-ads-ask-myspace-and-facebook.ars

[7] Mielikäinen, Taneli. 2004 « Privacy Problems with Anonymized
Transaction Databases ».
http://www.springerlink.com/content/rukljup9muhtrpcu/

[8] Shmatikov, Vitaly and Arvind Narayanan. 2008. « Robust
De-anonymization of Large Sparse Datasets (How To Break Anonymity of the
Netflix Prize Dataset) ».
http://www.cs.utexas.edu/~shmat/shmat_oak08netflix.pdf

[9] Shmatikov, Vitaly and Arvind Narayanan. 2009. « De-Anonymizing Social
Networks ». http://www.cs.utexas.edu/~shmat/shmat_oak09.pdf

[10] »Pentagon Searches for ‘Digital DNA’ to Identify Hackers »
http://www.wired.com/dangerroom/2010/01/pentagon-searches-for-digital-dna-to-identify-hackers/

Le conseil pratique de Riseup consiste à installer deux plugins pour Firefox, ce que je me suis empressée de faire.

Télécharger sans en perdre

Comment  s’assurer qu’un téléchargement sera bien fait ?

Quand vous avez une distribution GNU/Linux à télécharger, ou un Logiciel libre pour Windows ⁽™⁾, ou un fichier quel qu’il soit, dont l’intégrité compte pour la suite de ce que vous voulez faire, se pose le choix du programme à utiliser.

Avez-vous un logiciel assurant l’intégrité des téléchargements ? Si c’est
non, prenez celui-ci (la version lite peut suffire):
http://www.freedownloadmanager.org/download.htm

(bien entendu, il est sous une licence libre, reconnue par la FSF (Free Software Foundation)

à moins que vous ne veuillez le faire en ligne de commande avec wget.exe (si vous aimez vous prendre le chou avec des programmes de geeks) : http://users.ugent.be/~bpuype/wget/

Vous pouvez aussi le télécharger directement, en ce cas choisissez un
navigateur web qui ne perde pas des portions de données pendant le téléchargement (contrairement à un certain ‘e’ bleu, même s’il a une écharpe jaune maintenant) par exemple Kmeleon ou Firefox, ou Flock

Factures et devis Libres

Aujourd’hui, le patron d’une entreprise familiale me contait la visite d’un commercial chargé de lui vendre un logiciel de facturation.

Vendre un logiciel de facturation alors que des formulaires prêts à l’emploi sont disponibles dans le monde du Logiciel libre ? Je lui ai proposé  de lui faire passer les informations à propos de OpenOffice.org et d’une extension pour la facturation, ce qui n’a pas manqué de l’intéresser.

Comme il n’est pas évident que tout le monde en aie connaissance, j’en profite pour partager ici les éléments d’informations que j’ai réunis pour installer Factooor, dans la version 3.2.0 de OpenOffice.org.

Ce mode d’emploi est destiné aux utilisateurs de Windows. Les utilisateurs de distributions GNU/Linux voudront bien s’adresser au gestionnaire de paquets de leur distribution favorite pour installer openoffice.org si celui-ci n’est pas déjà installé, ou au choix go-openoffice, puis iront sur le site de http://www.factooor.fr afin d’y récupérer le fichier d’extension.

Ceux qui emploient Mac devront quant à eux adapter sans mon aide, car je ne connais pas ces machines.

Obtenir un facturier faisant aussi les devis et les avoirs ?

Installez OpenOffice.org, une suite bureautique libre et gratuite, et ajoutez l’extension Factooor (d’autres extensions intéressantes existent aussi).

Vive les logiciels libres

Le logiciel pour la facturation et les devis

Vous voudrez d’abord télécharger la suite OpenOffice.org (OOo de son petit nom), version Windows complète avec Java ici:

http://fr.openoffice.org/about-downloads.html

Le lien direct:
OOo_3.2.0_Win32Intel_install_wJRE_fr.exe

Si vous ne disposez pas d’un logiciel particulier pour télécharger, je vous propose de lire ce billet : Télécharger sans en perdre

Une fois le téléchargement terminé, double-cliquez sur l’icône du fichier et suivez les instructions. Au cours de l’installation, ou vers la fin, l’installeur vous proposera de vous inscrire chez Openoffice.org, inscrivez-vous si vous le voulez, oupa !

Prenez l’option standard qui installe tout, sauf si vous ne voulez pas tous les modules. Cela peut prendre un petit peu de temps, pour que l’installeur décompresse les fichiers, puis les installe.

Une fois l’installation finie vous trouverez un répertoire sur le bureau. Vous pourrez le supprimer, car c’est le répertoire temporaire créé par l’installeur pour décompresser les fichiers avant de les installer.

Ensuite allez sur cette page: http://www.factooor.fr et cliquez en bas sur le bouton « Get it! ». Une fenêtre s’ouvrira et offrira par défaut d’ouvrir le fichier avec OpenOffice.org 3.2.0. Cliquez sur OK et continuez en acceptant à nouveau que l’extension soit installée dans OOo.

Comment démarrer avec Factooor

Pour ouvrir Factooor, il faut ouvrir une feuille Calc :  le tableur de OpenOffice (équivalent à Excell chez les utilisateurs de la suite non libre connue).

Si vous ne connaissez pas déjà Openoffice: on peut ouvrir n’importe quel module (tableau, traitement de textes, dessin, base de données) de Openoffice depuis le menu «menu > fichier» de n’importe quel type de fichier (feuille de calcul, traitement de textes etc…), ou depuis l’interface générale de Openoffice.

Une fois Calc ouvert, allez dans le menu «Factooor» et sélectionnez Factooor. Il va se lancer, vous demander de l’autoriser à se connecter à la base de données, cliquez sur OK : vous y êtes. En haut à droite dans le fichier, il y a un bouton qui vous offre le choix entre «Facture, Devis, Avoir».

Les champs sont personnalisables (vous pourrez par exemple supprimer le gros « F » qui est en haut à gauche, puis cliquer dans la colonne de gauche sur le bouton pour mettre vos coordonnées). Une fois ce test fait, allez dans «menu > aperçu» et voyez ce que ça donnera à l’impression…

Voici une image, chez Commentcamarche.net : Factooor

La base de données permet de créer des fiches clients, des fiches produits
etc… Cela semble assez simple à prendre en main au départ.

Pensez-vous que le monde des Logiciels libres fera perdre des parts de marchés à certains marchands de logiciels ?

Créer une passerelle avec iptables

Je ne comprends pas grand-chose aux réseaux, bien que je les utilise, d’une manière ou d’une autre. Par exemple, aller sur internet, configurer une connexion en ethernet ou en wifi, ou utiliser un réseau local. (avec ssh, sshfs… )

Là je voulais avoir une machine en passerelle : un portable connecté à Internet en wifi, et la machine cliente connectée à la passerelle est un autre portable, relié par l’interface eth0 (donc un cable ethernet).

Alors, merci aux archers qui m’ont aidée sur le chan #archlinux-fr (serveur freenode) : CalimeroTecnik, quinq, et tuxce. Après avoir suivi leurs indications, tout fonctionne parfaitement.

Voici le résumé de l’opération. Après avoir installé le paquet iptables:

server : wlan0 lui fournit internet, eth0 est connecté sur un pc client qui veut internet.

1/activer le transfert de paquets au niveau du noyau (/proc etc)
server=> echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward

2/activer le NAT sur ta passerelle
server=> iptables -t nat -A POSTROUTING -o wlan0 -j SNAT –to-source 192.168.1.32

3/monter un réseau ethernet entre les deux PCs
server=> ifconfig eth0 192.168.0.3

client=> ifconfig eth0 192.168.0.9
client=> route add default gw 192.168.0.3
client=> echo nameserver 208.67.222.222 > /etc/resolv.conf

/! Veiller à avoir une famille d’ip différente sur les deux interfaces réseau: ici sur
eth il y a 192.168.0.xxx et sur wlan il y a 192.168.1.xxx

/! Les adresses des réseaux sont choisies en fonction du réseau déjà existant. Ici, l’ip du
client sur l’interface eth0 était déjà configurée dans le système, j’ai donc réutilisé la même. Autrement, on peut choisir n’importe laquelle, du moment que c’est dans la bonne famille d’adresse (l’avant-dernier groupe de chiffres)

Enfin, il faut aussi faire attention au DNS qui est configuré dans le fichier /etc/resolv.conf de la passerelle.

Chez moi, il y avait le DNS du routeur Adsl, c’est à dire son ip, alors que je passe d’abord par le routeur wifi… en mettant les DNS de chez OpenDNS, ça fonctionne… Vous pouvez aussi mettre les DNS de votre fournisseur d’accès internet, (FAI), ou encore les DNS de OpenNic, ça devrait fonctionner tout aussi bien.

Licenses et PCLinuxOS

En contribuant à PCLinuxOS, par la production de versions remastérisées en français, je suis amenée à poster pas mal, et ces derniers mois j’ai bien trouvé moyen de poser la question essentielle : PCLinuxOS est-il libre, et les programmes non libres qui y sont inclus le sont-ils légalement ? Voici la réponse que m’a faite Texstar, à ce sujet.
Nvidia and ATI allows redistribution of their video drivers. I have a license to include the Flash player. Sun allows for java jre redistribution. mp3 playback is allowed for non commercial entities. The ndiswrapper inf files are not really drivers but tell the ndiswrapper kernel driver how to interface with certain wireless devices so I think we are fairly clean. PCLinuxOS is GPL and what is not GPL is released under their respective licenses.
Reste à savoir si les fichiers .INF sont autorisés à la distribution, et si jre est toujours de libre redistribution depuis que l’avoir de Sun est passé chez Oracle, comme annoncé sur le site de Sun, à la date du 29 Avril 2009.
Concernant les versions localisées, au nom de code Old-World, elles sont aussi exemptes de code non libre que possible, au moment de leur mise en ligne. Seul le noyau pourrait contenir des firmwares propriétaires… mais ça, c’est un choix en upstream.

Wiki PCLinuxOS

Grâce à un nouveau membre du forum, Nakux, voici le tutoriel d’installation enfin présentée sur le wiki :  Category:Installer PCLinuxOS.

Ce tutoriel compte donc maintenant au moins 5 contributeurs, depuis la création des captures jusqu’à la mise en ligne sur le wiki officiel, où grâce à CSolis, aka Linuxera, ainsi que Travis000 que je remercie, nous avons un espace en langue française.

Vous retrouverez ce tutoriel également dans les versions Old-World, accessible grâce à une icône disponible sur le bureau, sauf dans la version Edu où c’est rangé dans un répertoire documentation du home de l’utilisateur.

PCLinuxOS Poor Man Install

J’ai réussi à retrouver cet article, disparu depuis les bouleversements de l’année dernière. (Ancien wiki/nouveau wiki, disparition du nouveau wiki…) (Le site actuel, http://pclinuxos.com, contient un nouveau Wiki, démarré il y a quelques mois).

Finalement, il m’a suffit de mettre l’url de cet article, que j’avais conservé dans le billet Installer PCLinuxOS MiniMe sans CD (1) dans la « wayback machine » du site http://www.archive.org pour le retrouver. J’en fais ici un copié-collé intégral, car il contient des informations supplémentaires potentiellement utiles, quand on en vient à installer une distribution en faisant l’économie d’un CD-R ou d’un CD-RW (economie financière autant qu’écologique… surtout quand on fait beaucoup d’essais)

Source de l’article:

http://web.archive.org/web/20080323043809/http://oldwiki.mypclinuxos.com/PoorManInstall

PoorManInstall

From PCLinuxOS Documentation Wiki

Installing PCLinuxOS Manually

You can install the LiveCD by booting the LiveCD and starting the LiveCD installer, which should install PCLinuxOS for you nice and easy. If you have problem with the livecd-installer, here are the steps that you can take:

Login as root
Open a konsole
type draklive-install

If all this fails and you still have problems, try the method that Knoppix calls the poor man install: installing a new PCLinuxOS without burning the ISO, directly from the hard drive. As a matter of fact, I would recommend this method to everybody who has any Linux already installed.

The way to achieve that is to copy the content of the livecd into this partition. Then you can boot the livecd with livecd bootfrom=/dev/hdXx where hdXx is the partition you copied the /isolinux directory and the livecd.sqfs file. If you add the changes=/dev/hdXx parameter on the boot, then it will even save all the modifications you made in your « non installed » iso.

Supposing you downloaded the iso into the /tmp/pclinuxosp92.iso from your current install. You can copy the necessary files with the following commands:

mkdir /mnt/loop
mount –o loop /tmp/pclinuxosp92.iso /mnt/loop
cp –av --preserve /mnt/loop/* /

or for people who prefer GUI, there is a handy KDE utility Kiso, available for this in synaptics.

Best of all you can even create a « boot » floppy to boot this setup not from a cd, but from the boot floppy. That basically can be done with lilo (where you create the lilo on floppy).

In the following example my PCLinuxOS install is on the /dev/hdb12, the partition where I copied the livecd’s contents.

My /etc/lilo.floppy which is demonstrating this is here:

default="PCLinuxOS.91"
boot=/dev/fd0
map=/mnt/floppy/map
prompt
nowarn
timeout=100
image=/boot/vmlinuz
label="PCLinuxOS.91"
root=/dev/hdb12
initrd=/boot/initrd.img
append="noapic nolapic nomce devfs=nomount acpi=ht splash=verbose"
vga=791
read-only
other=/dev/hda2
label="WindowsXP"
table=/dev/hda
image=/mnt/removable1/isolinux/vmlinuz
label="liveusb"
root=/dev/sda1
initrd=/mnt/removable1/isolinux/initrd.gz
append="noapic nolapic nomce devfs=nomount acpi=ht splash=silent debug bootfrom=/dev/sda1"
vga=788
read-only
image=/isolinux/vmlinuz
label="livehd"
root=/dev/hdb12
initrd=/isolinux/initrd.gz
append="noapic nolapic nomce devfs=nomount acpi=ht splash=silent debug bootfrom=/dev/hdb12 changes=/dev/hdb12"
vga=788
read-only

and the commands to install it on the floppy are:

fdformat /dev/fd0
mke2fs /dev/fd0
mount /mnt/floopy
lilo -C /etc/lilo.floppy -b /dev/fd0 -i /mnt/floppy/boot.b –c

Projets PCLOS Old World

PCLinuxOS par-ci, PCLinuxOS par là, je n’avais pas attendu Noël, pour me payer un disque dur un petit peu plus important en taille et plus adapté à ma machine. J’ai donc 160 go (ce n’est pas à la mode, vu les disques durs du demi tera et tera, mais j’ai encore de l’espace… :p ) bref, au moins 20 Go occupent le répertoire .Virtualbox, avec toutes ces usines à remastériser.

Les indications que j’ai données dans le billet précédent, sur la préparation pour la remastérisation sont caduques.

Les images isos sont ici : chez tyruiop.org, et ici chez Free.

Les images isos localisées en français contiennent le nom de code Old World.

L’origine est une plaisanterie que m’a lancée musonio, un utilisateur et packageur de chez PCLinuxOS, lors de mes premiers projets de remastérisation dans ce fil de discussion : [todo] Prochaines versions

Quand vous aurez fini, peut-être on peut traduire votre remasterisation à l’anglais.

I was thinking of a english-french french-english remaster.
You could call it « PCLinuxOS 2. The return from the Old-World ».

Bref, j’ai trouvé ça bien mignon… Old World, et les galions à trois mats qui voguent… 😀
Comme ceux du jeu FreeCol.

Enfin pour le nettoyage des installations à remastériser, Bleachbit peut être lancé depuis les menus normalement, une fenêtre vient alors demander le mot de passe, pour la version « root », et pour tous ces nettoyages des répertoires root etc…

Il n’y a plus besoin de grand-chose si on utilise une des versions que j’ai mises en ligne, et le fichier de remastérisation en bash que TrueDD de Absolinux m’a aidée à mettre au point. (Il se trouve pour l’instant sous /root/Documents/ModelesConf et doit être lancé en root depuis un tty, dans lequel on peut évidemment se connecter directement en root, après avoir fermé la session X).

Je prépare une nouvelle Edu basé sur la version PCLXDE, et une version serveur avec Lighty… et quelques surprises inside, à paraître bientôt.

À bientôt donc !