Utiliser une distribution PCLinuxOS Openbox et remplacer PCManFM par Nautilus

Ce sont quelques notes prises pour faire un point sur les progrès en cours, pour savoir si il est possible de remplacer PCManFM dans une distribution contenant uniquement Openbox et quelques programmes. Le but, rendre simple l’affichage du fond et des icônes (iDesk étant un programme pour afficher des icônes sur le bureau, amusant à mettre en place, mais obsolète,  pas utilisable sans une configuration manuelle icône par icône, et n’ayant pas de remplaçant récent que je connaisse), tout en ayant plus d’un bon gestionnaire de fichiers solide et fiable dans les choix possibles.

Les paquets installés:

nautilus (2.32.2.1-1pclos2010)

avec les dépendances suivantes:

gnome-python-desktop (2.32.0-3pclos2010)
gnome-python-nautilus-burn (2.32.0-3pclos2010)
gnome-python-totem (2.32.0-3pclos2010)
libnautilus-burn4 (2.25.3-7pclos2010)

Puis pour pouvoir utiliser la fonction gestion de bureau (fond et icônes) il faut gnome-settings-daemon:

gnome-menus (2.30.5-1pclos2010)
gnome-screensaver (2.30.2-1pclos2010)
gnome-settings-daemon (2.32.1-2pclos2010)
libgnomekbd4 (2.32.0-1pclos2010)
metacity (2.34.1-1pclos2011)
python-gnome-menus (2.30.5-1pclos2010)

Ensuite, pour pouvoir gérer aisément le fond d’écran et les icônes, j’ai installé gnome-control-center qui contient gnome-appearance-properties:

gnome-control-center (2.32.0-1pclos2010)
libgnome-window-settings1 (2.32.0-1pclos2010)

Une fois cela fait, il faut lancer gnome-settings-daemon et nautilus au démarrage. Après quelques essais et une recherche sur “où est gnome-settings-daemon” dans le système, celui-ci étant hors du $PATH, et nautilus ayant de multiples options, j’ai ajouté ceci dans le fichier autostart.sh situé sous ~/.config/openbox :

# lancer Nautilus comme gestionnaire de fond et d’icônes
/usr/lib/gnome-settings-daemon &
nautilus –no-default-window &

Après cela et quelques rechargements de la session X les polices et le thème d’icônes ne ressemblaient plus à ce que j’avais précédemment.

Dans le Centre de Contrôle Gnome j’ai trouvé l’entrée de la configuration pour Apparence, et configuré le fond d’écran et le lissage des polices. Il me manquait le choix du thème d’icônes, et j’ai trouvé ça dans gconf-editor, accessible aussi depuis le Centre de Controle Gnome (/usr/bin/gnome-control-center) sous les menus : desktop > gnome > applications > interface, où j’ai aussi pu choisir les noms et taille de fontes, et le thème gtk. Il suffit de cliquer sur le champ correspondant à leurs valeurs et de les changer là, ce qui va être écrit quelque part dans un des fichiers xml, probablement sous ~/.gconf et quand je regarde dans ce répertoire, sous ~/.gconf/desktop/gnome/interface je vois un fichier nommé %gconf.xml contenant ces lignes:

<?xml version=”1.0″?>
<gconf>
<entry name=”font_name” mtime=”1325990510″ type=”string”>
<stringvalue>DejaVu Sans 13</stringvalue>
</entry>
<entry name=”gtk_theme” mtime=”1325948049″ type=”string”>
<stringvalue>Equinox_Light</stringvalue>
</entry>
<entry name=”icon_theme” mtime=”1326041809″ type=”string”>
<stringvalue>LinuxLex-8</stringvalue>
</entry>
<entry name=”monospace_font_name” mtime=”1325947640″ type=”string”>
<stringvalue>Monospace 11</stringvalue>
</entry>
</gconf>

En chemin, je dois aussi dire que j’ai dû modifier des fichiers pour les entrées des menus, afin d’accéder à Nautilus en tant que gestionnaire de fichiers, et quelques trucs en plus…

Pour que ce soit propre et que les fichiers desktop en question ne soient pas écrasés lors d’une mise à jour de l’un ou l’autre des programmes, j’ai d’abord créé un répertoire “applications” sous ~/.local/share, puis j’y ai copié les fichiers suivants:
gconf-editor.desktop
gda-browser-4.0.desktop
gnomecc.desktop
nautilus-browser.desktop

Par exemple, dans nautilus-browser.desktop, j’ai changé la ligne

Categories=GNOME;GTK;System;Utility;Core;

en

Categories=FileManager;X-MandrivaLinux-System-FileTools;

ainsi, le menu d’entrée apparaît dans la même section que PCManFM, ou n’importe quel autre gestionnaire de fichiers sous Applications > Outils fichiers.

J’ai également profité de l’occasion pour supprimer des entrées de menus qui se retrouvent à plusieurs endroits dans les menus, ce que je trouve inutile, et aussi supprimer une section qui ne me sert à rien : celle de l’entrée vers les bases de données.

Pour la plupart des fichiers desktop, j’ai pu faire en sorte de ne plus les voir dans les menus juste en changeant la ligne “Categories=”. Par exemple, Lomanager apparaissait dans Bureautique et dans Centre de gestion des logiciels. Je ne le veux que dans Centre de gestion des logiciels alors j’ai changé:

Categories=PackageManager;GTK;System;X-MandrivaLinux-System-Configuration;X-MandrivaLinux-Office;X-MandrivaLinux-System-Configuration-Packaging;

en
Categories=PackageManager;GTK;System;Application;X-MandrivaLinux-System-Configuration-Packaging;

Pour supprimer l’entrée complète “Bases de Données” cela a été un petit peu plus complexe. J’ai fait divers essais qui n’ont pas fonctionné avant de trouver qu’il fallait agir sur deux repertoires différents. Alors sous ~/.local/share/ j’ai aussi créé le répertoire : desktop-directories dans lequel j’ai copié (depuis /usr/share/desktop-directories) le fichier mandriva-moreapplications-databases.directory. Pendant ce temps dans le répertoire ~/.local/share/applications, j’avais copié les deux fichiers correspondant au menu Applications > Autres applications > Bases de Données, soit libreoffice3.4-base.desktop et phpMyAdmin.desktop (l’un est déjà sous Bureautique, tandis que j’accède à l’autre quand j’en ai occasionnellement besoin, depuis le navigateur web, je n’ai donc pas besoin d’un menu pour ça).

Fichier libreoffice3.4-base.desktop: il a maintenant cette ligne:

Categories=Office;X-Red-Hat-Base;X-SuSE-Core-Office;

et à l’origine, il est un lien symbolique sous /usr/share/applications, et pointe vers /opt/libreoffice3.4/share/xdg/base.desktop, qui contient cette ligne:

Categories=Office;X-Red-Hat-Base;X-SuSE-Core-Office;X-MandrivaLinux-MoreApplications-Databases;

pour phpMyAdmin, il a maintenant:

Categories=GTK;

alors qu’il avait:

Categories=X-MandrivaLinux-MoreApplications-Databases;

Je ne sais pas s’il est possible de faire de meilleures modifications pour obtenir la suppression d’une catégorie d’entrée de menus. En attendant, cela fonctionne, et les menus nécessaires pour gérer un “Bureau Openbox” avec Nautilus sont à leur place.

Les menus Openbox sont toujours disponibles depuis le panel tint2, configuré pour permettre son affichage. Il ne manquerait plus qu’une entrée pour l’afficher depuis le menu Nautilus qui apparaît dans le clic-droit du bureau, ou  à l’inverse pouvoir configurer Nautilus pour permettre l’affichage du menu Openbox et dans celui-ci, ajouter le menu Nautilus pour pouvoir choisir par exemple un nouveau fond d’écran, à l’identique de ce que nous avons fait avec PCManFM.

Merci aux membres du forum Linuxgator.org
(Using Nautilus in Openbox ?) pour m’avoir aidée à dépasser les difficultés liées à ma méconnaissance de l’environnement Gnome. Je remercie en particulier knome et ongoto.

PCLinuxOS Openbox Bonsai

Tout a commencé au début du moins de Juillet 2010, quand une demande pour réaliser une version core a été publiée sur le forum des projets communautaires “mypclinuxos.com/forum”. À la suite de cette demande, un membre de la communauté PCLinuxOS connu sous le pseudo “etjr” a créé une image ISO minimaliste dite “core”, sans interface graphique, construite avec les rpm du dépôt PCLinuxOS.

Continue reading “PCLinuxOS Openbox Bonsai”

PCLinuxOS Openbox et Openbox Mini

Je rencontre quelques soucis au cours du projet de création d’une PCLinuxOS Openbox Mini, construite sur une iso minimale (core) en ligne de commande, nommée cli.iso.
Le problème est relatif à la gestion du lancement des services. Il y a “quelque chose” qui dérègle l’ordre dans lequels les services sont lancés.
À suivre… sur le forum pclinuxos.com, section “Zenmini-openbox-etc… etc…”

Continue reading “PCLinuxOS Openbox et Openbox Mini”

PCLinuxOS Openbox beta2

Deux semaines après la version beta1, annoncée dans le billet PCLinuxOS beta1 avec Openbox, je peux annoncer une PCLinuxOS Openbox beta 2. Construite sur la PCLinuxOS Lxde beta2a de Neal, elle est à jour, et contient quelques programmes de plus.

Les programmes en plus : Smplayer, parce qu’il permet non seulement de lire des vidéos, mais aussi des DVD et des CD audios ; Asunder, léger et performant, pour ripper vos CD audios, xcompmgr, pour créer des effets graphiques en toute légèreté.

Quelques raccourcis sont déjà configurés

W+p : démarre le CCP – Centre de Contrôle
W+s : démarre Synaptic

W+A+p : démarre PCManFM
W+A+u : démarre urxvt
W+A+s : démarre sakura

W+S+s : démarre Sylpheed
W+S+f : démarre Firefox

La lettre W désigne la touche Windows (ici celle de gauche, sinon ce ne serait pas très pratique) ; la lettre A désigne la touche Alt (celle de gauche aussi est conseillée) la lettre S désigne “Shift” : la touche que vous trouvez au-dessus de Ctrl, sur la gauche du clavier.

Par défaut, les touches W+w affichent le menu client combiné : c’est à dire la liste des applications lancées, chacune respectivement sur le bureau où vous les avez placées. Les touches Ctrl+flèche droite ou gauche, vous font passer d’un bureau à l’autre. W+barre d’espace affiche le menu principal.

Pour en savoir plus, vous pouvez parcourir le fichier ~/.config/openbox/rc.xml, où vous découvrirez les autres combinaisons (A+F4, A+F1, A+Ech etc… )

/! Vous serez peut-être étonnés de découvrir dans le menu général une ou deux entrées qui visiblement ne font rien : en particulier, le menu Openbox > Reconfigure. Il s’agit d’un raccourci graphique, pour la commande

openbox – -reconfigure

Cette commande vous servira à modifier le comportement de Openbox après un changement dans le fichier rc.xml. Quand vous modifierez, ajouterez, ou supprimerez des raccourcis claviers dans ce menu, et que vous vouliez vous en servir tout de suite, sans recharger la session graphique, alors vous sélectionnerez ce menu. Vous ne verrez ni une fenêtre s’ouvrir, ni un message s’afficher, sauf si vous avez fait une erreur de syntaxe dans le fichier rc.xml. Par contre vos nouveaux raccourcis seront opérationnels tout de suite.

Voici quelques captures d’écran illustrant l’installation et quelques-unes des fonctions décrites ci-dessus, de la version PCLinuxOS 2010 Openbox beta2.

[nggallery id=7]

Je remercie chaleureusement Neal pour son soutien et ses conseils techniques, Sproggy pour son offre de s’occuper du thème, Slick50 pour son paquet openbox-menu, kido pour son logo Openbox, arthefact pour ses offres de fond d’écran, les membres fidèles du chan #pclinuxos-fr sur le serveur freenode, qui m’encouragent et contribuent, sans oublier l’équipe principale de la distribution PCLinuxOS.

Quelques liens:

Site web PCLinuxOS
Forum du site PCLinuxOS
Section francophone : French
http://mypclinuxos.com Site des projets communautaires, “My PCLinuxOS” Fermé pour cause de vandalisme et de SPAM

http://mypclinuxos.com/forum/index.php Forum du site My PCLinuxOS Fermé pour cause de vandalisme et de SPAM

PCLinuxOS beta1 avec Openbox

Depuis quelques jours je me suis mise à la construction d’une version PCLinuxOS avec le bureau basé sur des éléments légers : Openbox, feh, PCManFM, Tint2, et Openbox-menu (menus dynamique de type pipe-menus, dont vous trouverez les liens dans ce billet).

L’équipe de développement principale et plusieurs membres de la communauté  PCLinuxOS travaillent à la mise au point  de la prochaine version 2010, avec une version officielle comportant KDE4, et des versions communautaires pour chacun des environnements de bureau les plus utilisés, Gnome, Xfce, Lxde, E17.

Cela m’a donné envie de proposer une version très minimaliste, basée sur les configurations astucieuses de Calimeroteknik et sur l’outil menus dynamiques de mimas, un programme qui change tout dans l’utilisation de Openbox !

Voici un aperçu de quelques éléments:

  • Des menus dynamiques
  • Des raccourcis claviers préconfigurés
  • Une certaine transparence
  • Un panel ultra-léger : Tint2
  • Fond d’écran affiché au choix par PCManFM ou par feh (là c’est PCManFM, ainsi des icônes peuvent être affichées sur le bureau), avec feh vous pourrez avoir un fond changeant…

Par dessus tout, la légèreté de Openbox, et les fameux outils de l’excellente distribution GNU/Linux, PCLinuxOS.

Voici une petite suite de captures d’écran, juste un avant-goût. Dans la première bêta 1, il y a GDM au login, et non Slim comme dans ces captures.

[nggallery id=6]

Quelques raccourcis claviers

Image 7 : pour voir les applications lancées sur les différents bureaux, les touches Windows+w seront pressées simultanément

Image 8 : les touches Ctrl+flèches droite et gauche permettent de naviguer d’un bureau à l’autre

Image 9 : le clic droit, utilisé sur le bureau ou sur le panel, offre l’accès aux menus dynamiques (disponible aussi sur Code Google)

Puis quelques-unes des applications installés : Sylpheed pour le courriel, Sakura en console principale (qui offre des menus contextuels comme vous pouvez le voir sur la capture), Pino en client multiprotocoles Twitter Identi-ca etc…

Il y a bien sûr PCManFM en gestionnaire de fichiers, et Htop, pour surveiller les processus ! Vous pouvez le lancer directement depuis les menus : vous pouvez le voir sur la capture numéro 9. Remarquez aussi la faible utilisation des ressources dans cette machine virtuelle, par rapport au diverses applications lancées, visibles sur le panel.

Sur la capture numéro 15, notez les menus pour éteindre, redémarrer, se déconnecter, et mettre en veille. L’hibernation n’y est pas, c’est volontaire.  C’est une action pouvant présenter certains dangers pour le système, si elle est mal employée. Ceux qui voudront employer l’hibernation la configureront par la suite… 🙂

Tester cette version

Vous trouverez le lien sur le fil de discussion dédié, sur le forum de la communauté PCLinuxOS, Mypclinuxos.com : Openbox version.
Fermé pour cause de vandalisme et de SPAM

N’oubliez pas que c’est une version beta, basée sur la beta1, et prochainement une beta2. Ne comptez pas la garder pour l’utiliser après les dernières mises à jour, le résultat ne serait pas garanti.

À suivre…

Licenses et PCLinuxOS

En contribuant à PCLinuxOS, par la production de versions remastérisées en français, je suis amenée à poster pas mal, et ces derniers mois j’ai bien trouvé moyen de poser la question essentielle : PCLinuxOS est-il libre, et les programmes non libres qui y sont inclus le sont-ils légalement ? Voici la réponse que m’a faite Texstar, à ce sujet.
Nvidia and ATI allows redistribution of their video drivers. I have a license to include the Flash player. Sun allows for java jre redistribution. mp3 playback is allowed for non commercial entities. The ndiswrapper inf files are not really drivers but tell the ndiswrapper kernel driver how to interface with certain wireless devices so I think we are fairly clean. PCLinuxOS is GPL and what is not GPL is released under their respective licenses.
Reste à savoir si les fichiers .INF sont autorisés à la distribution, et si jre est toujours de libre redistribution depuis que l’avoir de Sun est passé chez Oracle, comme annoncé sur le site de Sun, à la date du 29 Avril 2009.
Concernant les versions localisées, au nom de code Old-World, elles sont aussi exemptes de code non libre que possible, au moment de leur mise en ligne. Seul le noyau pourrait contenir des firmwares propriétaires… mais ça, c’est un choix en upstream.

Wiki PCLinuxOS

Grâce à un nouveau membre du forum, Nakux, voici le tutoriel d’installation enfin présentée sur le wiki :  Category:Installer PCLinuxOS.

Ce tutoriel compte donc maintenant au moins 5 contributeurs, depuis la création des captures jusqu’à la mise en ligne sur le wiki officiel, où grâce à CSolis, aka Linuxera, ainsi que Travis000 que je remercie, nous avons un espace en langue française.

Vous retrouverez ce tutoriel également dans les versions Old-World, accessible grâce à une icône disponible sur le bureau, sauf dans la version Edu où c’est rangé dans un répertoire documentation du home de l’utilisateur.

PCLinuxOS Poor Man Install

J’ai réussi à retrouver cet article, disparu depuis les bouleversements de l’année dernière. (Ancien wiki/nouveau wiki, disparition du nouveau wiki…) (Le site actuel, http://pclinuxos.com, contient un nouveau Wiki, démarré il y a quelques mois).

Finalement, il m’a suffit de mettre l’url de cet article, que j’avais conservé dans le billet Installer PCLinuxOS MiniMe sans CD (1) dans la “wayback machine” du site http://www.archive.org pour le retrouver. J’en fais ici un copié-collé intégral, car il contient des informations supplémentaires potentiellement utiles, quand on en vient à installer une distribution en faisant l’économie d’un CD-R ou d’un CD-RW (economie financière autant qu’écologique… surtout quand on fait beaucoup d’essais)

Source de l’article:

http://web.archive.org/web/20080323043809/http://oldwiki.mypclinuxos.com/PoorManInstall

PoorManInstall

From PCLinuxOS Documentation Wiki

Installing PCLinuxOS Manually

You can install the LiveCD by booting the LiveCD and starting the LiveCD installer, which should install PCLinuxOS for you nice and easy. If you have problem with the livecd-installer, here are the steps that you can take:

Login as root
Open a konsole
type draklive-install

If all this fails and you still have problems, try the method that Knoppix calls the poor man install: installing a new PCLinuxOS without burning the ISO, directly from the hard drive. As a matter of fact, I would recommend this method to everybody who has any Linux already installed.

The way to achieve that is to copy the content of the livecd into this partition. Then you can boot the livecd with livecd bootfrom=/dev/hdXx where hdXx is the partition you copied the /isolinux directory and the livecd.sqfs file. If you add the changes=/dev/hdXx parameter on the boot, then it will even save all the modifications you made in your “non installed” iso.

Supposing you downloaded the iso into the /tmp/pclinuxosp92.iso from your current install. You can copy the necessary files with the following commands:

mkdir /mnt/loop
mount –o loop /tmp/pclinuxosp92.iso /mnt/loop
cp –av --preserve /mnt/loop/* /

or for people who prefer GUI, there is a handy KDE utility Kiso, available for this in synaptics.

Best of all you can even create a “boot” floppy to boot this setup not from a cd, but from the boot floppy. That basically can be done with lilo (where you create the lilo on floppy).

In the following example my PCLinuxOS install is on the /dev/hdb12, the partition where I copied the livecd’s contents.

My /etc/lilo.floppy which is demonstrating this is here:

default="PCLinuxOS.91"
boot=/dev/fd0
map=/mnt/floppy/map
prompt
nowarn
timeout=100
image=/boot/vmlinuz
label="PCLinuxOS.91"
root=/dev/hdb12
initrd=/boot/initrd.img
append="noapic nolapic nomce devfs=nomount acpi=ht splash=verbose"
vga=791
read-only
other=/dev/hda2
label="WindowsXP"
table=/dev/hda
image=/mnt/removable1/isolinux/vmlinuz
label="liveusb"
root=/dev/sda1
initrd=/mnt/removable1/isolinux/initrd.gz
append="noapic nolapic nomce devfs=nomount acpi=ht splash=silent debug bootfrom=/dev/sda1"
vga=788
read-only
image=/isolinux/vmlinuz
label="livehd"
root=/dev/hdb12
initrd=/isolinux/initrd.gz
append="noapic nolapic nomce devfs=nomount acpi=ht splash=silent debug bootfrom=/dev/hdb12 changes=/dev/hdb12"
vga=788
read-only

and the commands to install it on the floppy are:

fdformat /dev/fd0
mke2fs /dev/fd0
mount /mnt/floopy
lilo -C /etc/lilo.floppy -b /dev/fd0 -i /mnt/floppy/boot.b –c

Projets PCLOS Old World

PCLinuxOS par-ci, PCLinuxOS par là, je n’avais pas attendu Noël, pour me payer un disque dur un petit peu plus important en taille et plus adapté à ma machine. J’ai donc 160 go (ce n’est pas à la mode, vu les disques durs du demi tera et tera, mais j’ai encore de l’espace… :p ) bref, au moins 20 Go occupent le répertoire .Virtualbox, avec toutes ces usines à remastériser.

Les indications que j’ai données dans le billet précédent, sur la préparation pour la remastérisation sont caduques.

Les images isos sont ici : chez tyruiop.org, et ici chez Free.

Les images isos localisées en français contiennent le nom de code Old World.

L’origine est une plaisanterie que m’a lancée musonio, un utilisateur et packageur de chez PCLinuxOS, lors de mes premiers projets de remastérisation dans ce fil de discussion : [todo] Prochaines versions

Quand vous aurez fini, peut-être on peut traduire votre remasterisation à l’anglais.

I was thinking of a english-french french-english remaster.
You could call it “PCLinuxOS 2. The return from the Old-World”.

Bref, j’ai trouvé ça bien mignon… Old World, et les galions à trois mats qui voguent… 😀
Comme ceux du jeu FreeCol.

Enfin pour le nettoyage des installations à remastériser, Bleachbit peut être lancé depuis les menus normalement, une fenêtre vient alors demander le mot de passe, pour la version “root”, et pour tous ces nettoyages des répertoires root etc…

Il n’y a plus besoin de grand-chose si on utilise une des versions que j’ai mises en ligne, et le fichier de remastérisation en bash que TrueDD de Absolinux m’a aidée à mettre au point. (Il se trouve pour l’instant sous /root/Documents/ModelesConf et doit être lancé en root depuis un tty, dans lequel on peut évidemment se connecter directement en root, après avoir fermé la session X).

Je prépare une nouvelle Edu basé sur la version PCLXDE, et une version serveur avec Lighty… et quelques surprises inside, à paraître bientôt.

À bientôt donc !

Préparer un nouveau remaster PCLinuxOS

En tout premier, installer un nouveau fichier sources.list, comme indiqué sur ce post : [Synaptic] Des dépôts à jour – fichier sources.list à jour.

Puis, recharger la liste des paquets, configurer les préférences pour ne pas garde de paquets en cache et faire une mise à jour complète.

Installer Bleachbit afin de nettoyer tous fichiers devenus inutiles. Lancer Bleachbit une fois en mode utilisateur : configurer la ou les langues à conserver dans les préférences.

Lancer une fois Bleachbit en root avec la commande : kdesu bleachbit si on utilise KDE, gksu bleachbit si on utilise Xfce4 ou Gnome, donner le mot de passe root à la petite fenêtre qui le demande, configurer la ou les langues à conserver, dans les préférences, puis afficher les fichiers à supprimer, regarder lesquels ils sont, et les supprimer.

Dans la version Xfce4 en FR et EN en cours de test[¹], j’ai ajouté une entrée de menu pour pouvoir lancer Bleachbit en mode root. Le mot de passe sera demandé directement.

Ensuite je tenterai un remaster en chroot depuis l’installation PCLinuxOS voisine.

Les répertoires à nettoyer : sous /root, certains fichiers conservant l’historique des fichiers ouverts récemment, des logs de synaptic, des répertoires d’applications utilisateur ayant été lancées, peuvent être effacés. (Il faut afficher les fichiers cachés). Sous /var/log, tous les logs peuvent être supprimés. Si on est en chroot, on peut aussi supprimer tous les fichiers sous /dev à l’exception de trois d’entre eux : console, null et zero.

Sous le home de l’utilisateur, même chose que sous /root, sous /etc suprimer le contenu du répertoire skel (mais pas le répertoire skel) et y copier tout le contenu du home utilisateur, sauf le répertoire temporaire que l’on y crée pour y déposer le remaster, qu’on nommera temp, pour ne pas le confondre avec tmp.

On peut aussi supprimer les locales inutiles dans /usr/share/man/locales. Sous /usr/share/docs tout peut être supprimé, sauf HTML.

Ce listing n’est pas définitif. (démonter toute partition externe avant de commencer, si on lance mklivecd depuis le système en fonctionnement, vérifier que le swap soit sur on… )

[¹] La version en cours de test étant parfaitement fonctionnelle, et ne nécessitant que deux ou trois détails sans gravité à corriger, comme un fichier vimrc qui traîne dans le home de l’utilisateur, et un ou deux paquets comme evince, et printer drake, je vais m’attaquer rapidement à la description complète afin de pouvoir la présenter lors de sa prochaine diffusion. En attendant, pour essayer, c’est ici:

PCLinuxOS-2009-Xfce4-fr-6-Aout.iso

PCLinuxOS-2009-Xfce4-fr-6-Aout.md5.txt