Dictionnaires informatiques et DMA

Les dicos fonctionnels sont rares…

Je viens de visiter plusieurs d’entre eux pour rechercher un choix… L’un a planté Firefox avec son script, le dernier, www.dicodu.net,  affiche:

Microsoft OLE DB Provider for ODBC Driverserreur ‘80004005’

[Microsoft][Pilote ODBC Microsoft Access] L’opération doit utiliser une requête qui peut être mise à jour.

/ExplicationMot.asp, ligne 6

Il reste Jargonf Actu et Wikipédia.

C’est le Jargon Français (Maintenant Jargonf Actu) qui est le meilleur ! o/ !

Ensuite, quelques infos pour recouper le cheminement du DMA à l’UDMA etc…
LE DISQUE DUR Historique des technologies. (de Hubert GREGOIRE, sur archive.org Dernière modification le 06/04/04)

http://jargonf.org/wiki/ultra_DMA

Dr enus.png locution nominale, masculin.  [disque]. Ultra Direct Memory Access.
Technologie de transfert de données entre le disque dur et la mémoire, en pratique du Direct Memory Access. Existe en 7 versions pour le moment, numérotées de 0 à 7, avec des débits respectifs de 16,7, 25, 33,3, 44,4, 66,7, 100 et 133 Mo/s.

Et le DMA, cité dans divers documents sans préciser sa plage historique, comme si nos PC l’utilisaient encore couramment (vrai pour certains, pas pour d’autres selon Jargonf Actu):

http://jargonf.org/wiki/DMA

1.  [mémoire (puces)]. Direct Memory Access. Accès direct à la mémoire vive. Mode de transfert de données dans la mémoire vive d’un ordinateur, optimisé car il ne mobilise quasi pas le processeur.

Le processeur ordonne le transfert DMA à un circuit spécialisé puis s’occupe d’autre chose (surtout grâce à sa mémoire cache, car le transfert mobilise d’ordinaire le bus de façon non négligeable). Un périphérique disposant d’un canal DMA copie ainsi dès que nécessaire au lieu de faire la queue.

Les processeurs sont désormais nettement plus rapides que le reste de la machine, ce qui n’était pas le cas quand le DMA a été mis au point. Or le DMA exige des circuits sur le périphérique, donc on peut économiser en s’en passant lorsque le débit n’implique pas de trop mobiliser le processeur, ou s’il n’a rien d’autre à faire.

Le sens de direct est ici bien distinct de celui qu’il revêt dans accès direct. Toute mémoire vive permet l’accès direct à nimporte quel élément, direct signifie ici que le CPU, d’ordinaire seul habilité à lire/écrire dans la mémoire vive, n’est pas impliqué.

(…..)

Note : fin de la page citée : «Dernière modification de cette page le 28 juillet 2009 à 13:28».

À suivre !

 

Factures et devis Libres

Aujourd’hui, le patron d’une entreprise familiale me contait la visite d’un commercial chargé de lui vendre un logiciel de facturation.

Vendre un logiciel de facturation alors que des formulaires prêts à l’emploi sont disponibles dans le monde du Logiciel libre ? Je lui ai proposé  de lui faire passer les informations à propos de OpenOffice.org et d’une extension pour la facturation, ce qui n’a pas manqué de l’intéresser.

Comme il n’est pas évident que tout le monde en aie connaissance, j’en profite pour partager ici les éléments d’informations que j’ai réunis pour installer Factooor, dans la version 3.2.0 de OpenOffice.org.

Ce mode d’emploi est destiné aux utilisateurs de Windows. Les utilisateurs de distributions GNU/Linux voudront bien s’adresser au gestionnaire de paquets de leur distribution favorite pour installer openoffice.org si celui-ci n’est pas déjà installé, ou au choix go-openoffice, puis iront sur le site de http://www.factooor.fr afin d’y récupérer le fichier d’extension.

Ceux qui emploient Mac devront quant à eux adapter sans mon aide, car je ne connais pas ces machines.

Obtenir un facturier faisant aussi les devis et les avoirs ?

Installez OpenOffice.org, une suite bureautique libre et gratuite, et ajoutez l’extension Factooor (d’autres extensions intéressantes existent aussi).

Vive les logiciels libres

Le logiciel pour la facturation et les devis

Vous voudrez d’abord télécharger la suite OpenOffice.org (OOo de son petit nom), version Windows complète avec Java ici:

http://fr.openoffice.org/about-downloads.html

Le lien direct:
OOo_3.2.0_Win32Intel_install_wJRE_fr.exe

Si vous ne disposez pas d’un logiciel particulier pour télécharger, je vous propose de lire ce billet : Télécharger sans en perdre

Une fois le téléchargement terminé, double-cliquez sur l’icône du fichier et suivez les instructions. Au cours de l’installation, ou vers la fin, l’installeur vous proposera de vous inscrire chez Openoffice.org, inscrivez-vous si vous le voulez, oupa !

Prenez l’option standard qui installe tout, sauf si vous ne voulez pas tous les modules. Cela peut prendre un petit peu de temps, pour que l’installeur décompresse les fichiers, puis les installe.

Une fois l’installation finie vous trouverez un répertoire sur le bureau. Vous pourrez le supprimer, car c’est le répertoire temporaire créé par l’installeur pour décompresser les fichiers avant de les installer.

Ensuite allez sur cette page: http://www.factooor.fr et cliquez en bas sur le bouton “Get it!”. Une fenêtre s’ouvrira et offrira par défaut d’ouvrir le fichier avec OpenOffice.org 3.2.0. Cliquez sur OK et continuez en acceptant à nouveau que l’extension soit installée dans OOo.

Comment démarrer avec Factooor

Pour ouvrir Factooor, il faut ouvrir une feuille Calc :  le tableur de OpenOffice (équivalent à Excell chez les utilisateurs de la suite non libre connue).

Si vous ne connaissez pas déjà Openoffice: on peut ouvrir n’importe quel module (tableau, traitement de textes, dessin, base de données) de Openoffice depuis le menu «menu > fichier» de n’importe quel type de fichier (feuille de calcul, traitement de textes etc…), ou depuis l’interface générale de Openoffice.

Une fois Calc ouvert, allez dans le menu «Factooor» et sélectionnez Factooor. Il va se lancer, vous demander de l’autoriser à se connecter à la base de données, cliquez sur OK : vous y êtes. En haut à droite dans le fichier, il y a un bouton qui vous offre le choix entre «Facture, Devis, Avoir».

Les champs sont personnalisables (vous pourrez par exemple supprimer le gros “F” qui est en haut à gauche, puis cliquer dans la colonne de gauche sur le bouton pour mettre vos coordonnées). Une fois ce test fait, allez dans «menu > aperçu» et voyez ce que ça donnera à l’impression…

Voici une image, chez Commentcamarche.net : Factooor

La base de données permet de créer des fiches clients, des fiches produits
etc… Cela semble assez simple à prendre en main au départ.

Pensez-vous que le monde des Logiciels libres fera perdre des parts de marchés à certains marchands de logiciels ?

Firefox en français

Si la version localisée n’est pas disponible dans la distribution qu’on utilise, il faut télécharger le fichier fr.xpi. Puis, l’ouvrir avec Firefox (menu Fichier > Ouvrir un fichier).

Ensuite, il faut afficher la configuration en inscrivant about:config dans la barre d’adresse du navigateur, et rechercher general.useragent.locale à l’aide du champ “Filter”. Après il n’y a plus qu’à sélectionner la ligne concernée, faire un clic droit dessus et choisir “Modify”. Inscrire “fr-FR”, et redémarrer Firefox.

Voilà, il est en français.

Selon la version à localiser, le fichier .xpi sera dans un des répertoires de cette page de chez Mozilla.

Logiciels libres, sur les épaules des géants

C’est une partie de ce qu’explique la société Smile, pour définir le mode de développement des logiciels libres et open-source. Dans leur livre blanc de 73 pages, (licence Creative Commons « Paternité-Pas d’Utilisation Commerciale-Pas de Modification » 2.0.) nous découvrons ce qui les compose et les définit, et surtout ce qui les oppose au modèle de développement privateur et les limites de ce dernier. Ce document explique en détail en quoi les logiciels libres et l’open-source oeuvrent pour une évolution saine de la chose informatique.

Introduction à l’open source et au logiciel libre.