Je n’ai pas trop envie de prendre le temps d’écrire un billet pour en faire un point alors que tant d’articles très excellents circulent sur le web, pour mon plus grand plaisir.
Je me contenterai d’en partager les liens.
Liste de bon billets sur Hadopi et ce qui risque d’en advenir, une grosse opération de fricage (accompagnée de prétextes creux) sur le dos des internautes. On repart sur la quadrature du net pour commencer.
Pourquoi ce nom « La quadrature du net » ?
Extrait : Dans le plus ancien texte mathématique retrouvé, le papyrus Rhind (~1650 av. J.-C.), le scribe Ahmès proposait déjà une solution approchée du problème. Il faudra cependant attendre 1882 pour que le mathématicien allemand Ferdinand von Lindemann démontre la transcendance de π, établissant ainsi l’impossibilité de résoudre ce problème de la quadrature du cercle : il est impossible de construire, à l’aide de la règle et du compas seulement, un carré dont la surface est rigoureusement égale à la surface d’un disque donné.
La question aujourd’hui est donc de savoir combien de siècles il va falloir pour que le législateur revienne à la raison ? Sommes nous dans le domaine du droit et des NTIC plus proche de -1650 avant JC ou de 1882 ?
Une fabrique d’adresse IP perfectionnée…
jaimelesartistes.info:
J’aime les artistes… pas les majors !
Hadopi dans ta face ou l’arroseur arrosé
Extrait : C’est amusant, j’y pense depuis quelque temps, il est fort possible que l’ignorance technique abyssale des gentlemen qui votent nos lois pour le compte de lobbies sans même comprendre le contenu réel de ce qu’ils votent, n’aboutisse avec la loi “HADOPI” à une protection légale en béton pour les téléchargeurs boulimiques.
Expliquons…
En prime je vous recommande chaleureusement le lien fournit par la personne du commentaire numéro 125:
- 125. Le vendredi 20 mars 2009, 22:42 par Taïkira
- Un petit tour vers la page encyclopédique de l’Hadopi révèle que tout ça n’est au final qu’un mouvement sectaire!
La preuve sur ce lien!Extrait : Hadopi est le nom d’une secte plus connue auparavant sous le nom de “conglomérat des majors”, regroupant les plus gros spécimens de dinausores de l’industrie musicale. D’inspiration mormone, cette secte refuse ainsi toute idée de progrès technologique. Le principe de base de cette secte de dinosaures est de se cramponner à des mœurs économiques datant du pré-paléolithique mineur, et voulant – dans un ultime autant que vain réflexe de survie de l’espèce – les imposer à la vulgaire piétaille née de l’évolution darwinesque des arts et de la culture numériques.