Compiler Xsnow

Comment compiler xsnow:

xsnow-1.42.tar.gz est ici http://janswaal.home.xs4all.nl/Xsnow

imake contient généralement xmkmf qui est requis.

Pour pouvoir le compiler (needed to build)
imake
gccmakedep
libx11-devel
libxt-devel
libxpm-devel

Une fois que ces paquets sont installés, lire le fichier README:

and once these installed, following the README:

How to compile:
—————
To build:
xmkmf
make depend
make

et voilà ! / is successful

Réseaux sociaux ou auto-fichage ?

Publié le : 19 avril 2012

Je vous suggère de lire cet intéressant billet de fiction. Tellement réaliste…

Expulsé du territoire pour avoir utilisé Facebook, Google+, Linkedin ou Twitter (lien supprimé en 2030 pour cause de disparition du blog d’origine, quand à l’auteur, il n’a pas laissé de lien pour faire suivre les commentaires 😔 ).

Lorsque Mr X arriva à l’aéroport , le fonctionnaire du contrôle des passeports ne lui posa qu’une seule question : “Utilisez vous les réseaux sociaux, Google+, Facebook, Twitter, Linkedin ?”

‘Heu, oui, comme tout le monde”

-Je vois ici sur votre profil Facebook que vous avez coché la case religion et indiqué Islam. Vous êtes pratiquant ?

-Mes parents le sont et je ne suis pas baptisé si vous préférez. Mais comment pouvez vous avoir accès à ces informations que je ne partage pas hormis avec mes amis ? C’est une violation de ma vie privée !

-Vous avez entièrement raison ! Cependant, notre police a passé des accord commerciaux avec Facebook pour acheter les données de ses utilisateurs (…)

Les réseaux sociaux sont-ils dangereux pour la préservation de notre vie privée, ou est-ce seulement l’usage qu’on en fait qui peut le devenir ?

Mise à jour 2020

À partir de 2013, puis en 2015 …

Des sous-titres en français sont disponibles sur amara.org.

En 2019 Pour obtenir un visa de voyage vers les États-Unis depuis mai 2019 vous devez indiquer les réseaux sociaux que vous avez fréquentés durant les cinq années précédentes.

En 2023, puis en 2027, puis lors des 12° et 15° lunes après Fonfon l’intrépide…

 

Dictionnaires informatiques et DMA

Les dicos fonctionnels sont rares…

Je viens de visiter plusieurs d’entre eux pour rechercher un choix… L’un a planté Firefox avec son script, le dernier, www.dicodu.net,  affiche:

Microsoft OLE DB Provider for ODBC Driverserreur ‘80004005’

[Microsoft][Pilote ODBC Microsoft Access] L’opération doit utiliser une requête qui peut être mise à jour.

/ExplicationMot.asp, ligne 6

Il reste Jargonf Actu et Wikipédia.

C’est le Jargon Français (Maintenant Jargonf Actu) qui est le meilleur ! o/ !

Ensuite, quelques infos pour recouper le cheminement du DMA à l’UDMA etc…
LE DISQUE DUR Historique des technologies. (de Hubert GREGOIRE, sur archive.org Dernière modification le 06/04/04)

http://jargonf.org/wiki/ultra_DMA

Dr enus.png locution nominale, masculin.  [disque]. Ultra Direct Memory Access.
Technologie de transfert de données entre le disque dur et la mémoire, en pratique du Direct Memory Access. Existe en 7 versions pour le moment, numérotées de 0 à 7, avec des débits respectifs de 16,7, 25, 33,3, 44,4, 66,7, 100 et 133 Mo/s.

Et le DMA, cité dans divers documents sans préciser sa plage historique, comme si nos PC l’utilisaient encore couramment (vrai pour certains, pas pour d’autres selon Jargonf Actu):

http://jargonf.org/wiki/DMA

1.  [mémoire (puces)]. Direct Memory Access. Accès direct à la mémoire vive. Mode de transfert de données dans la mémoire vive d’un ordinateur, optimisé car il ne mobilise quasi pas le processeur.

Le processeur ordonne le transfert DMA à un circuit spécialisé puis s’occupe d’autre chose (surtout grâce à sa mémoire cache, car le transfert mobilise d’ordinaire le bus de façon non négligeable). Un périphérique disposant d’un canal DMA copie ainsi dès que nécessaire au lieu de faire la queue.

Les processeurs sont désormais nettement plus rapides que le reste de la machine, ce qui n’était pas le cas quand le DMA a été mis au point. Or le DMA exige des circuits sur le périphérique, donc on peut économiser en s’en passant lorsque le débit n’implique pas de trop mobiliser le processeur, ou s’il n’a rien d’autre à faire.

Le sens de direct est ici bien distinct de celui qu’il revêt dans accès direct. Toute mémoire vive permet l’accès direct à nimporte quel élément, direct signifie ici que le CPU, d’ordinaire seul habilité à lire/écrire dans la mémoire vive, n’est pas impliqué.

(…..)

Note : fin de la page citée : «Dernière modification de cette page le 28 juillet 2009 à 13:28».

À suivre !

 

Setun, l’ordinateur trinaire

Un jour, je me suis demandé pourquoi les ordinateurs utilisent le système binaire. D’ailleurs, aurait-il été possible, de créer par exemple, un ordinateur basé sur un système trinaire ? Si cela avait été possible à quoi cela aurait-il ressemblé ? Alors, sans me douter que je trouverais un tel projet, j’ai cherché « ordinateur trinaire » sur le web, et…

Demo en ligne Setun

En 1956 un chercheur russe du nom de Nikolai Brusentsov avait mis au point un ordinateur basé non sur un système binaire, mais sur un système trinaire.
Nikolay Brusentsov – the Creator of the Trinary Computer

According to Essays on history of Computer Science and Technology in Ukraine »
author Boris Malinovsky
On June 21, 1941, the day before the beginning of the Great Patriotic War of the USSR Nick Brusentsov was an eighth-form (equivalent to 10th grade in the USA) schoolboy living in Dnepropetrovsk. He participated in competitions of young musicians, conducting a chorus which sang his own composition about Dzerzhinsk metallurgy workers. Everything was remarkable.

However, the next morning, together with the other children who had arrived from Dneprodzerzhinsk, he was urgently sent back home. He was already home when he heard Molotov’s radio speech. The words « The Victory will be ours! » and Borodin’s Bogatyrskaya symphony which followed were memorable for him.

Thus ended Nikolai’s childhood.

C’est le début de son histoire…

Ordinateur trinaire sur le web

Je résiste à l’envie de tout copier-coller ici, et je passe à la partie concernant directement cette machine utilisant un langage trinaire:

It was namely then that he decided to use a trinary number system. It allowed for the creation of very simple and reliable elements and reduced their quantity by seven times as compared to the number of elements used by L.Gutenmacher. The power source requirements were sharply reduced, due to the fact far fewer magnetic cores and diodes were being used. But the main advantage was that a natural number coding system was used instead of direct, inverse and complement number coding.

He developed and assembled a circuit for a trinary adder which began to work reliably as soon as it began operating. S.Sobolev, having found out about his intention to create a computer based on a trinary scale of notation fiercely supported the project and promised to bring on some young assistants. Inventing adders, counters and other typical circuits didn’t present much of a problem to Brusentsov.

In 1958 Brusentsov’s team (at that time amounting about 20 persons) assembled the first model of the computer with their own hands.

http://www.icfcst.kiev.ua/MUSEUM/GALLERY/Gallery.html

http://www.icfcst.kiev.ua/MUSEUM/PHOTOS/Setun-1.html

SetunSetun 1

 

Il a eu le succès qu’on lui connaît : un flop, puisque presque personne n’en parle, n’en a parlé ces dernières années, lors de la généralisation de l’usage de l’ordinateur personnel.

Selon l’article suivant, Development of ternary computers at Moscow State University

Brousentsov N. P., Maslov S. P., Ramil Alvarez J., Zhogolev E.A. cela aurait été une machine très économique et puissante.

The design of small digital machine « Setun » (Setun is the little river which flows into the river « Moscow » near the University) was initiated by member of the academy of Sciences S. L. Sobolev at 1956. It was assumed to create small, inexpensive computer, simple in use and service for schools, research laboratories, design offices and for manufacture control.

Si j’ai bien compris, la création de programme était aussi une tâche aisée.

The experience of creating, programming and application of « Setun » unambiguously confirmed the significant preferences of ternarity. In spite of the fact that the designers of the first were very young and the group was small, the specimen of « Setun » was ready in Dec. 1958, i.e. in two years since the beginning. « Setun » worked correctly at once without even debugging and began to execute the existing programs. At 1960 it was sufficient amount of programs and it was possible to present « Setun » for the official testing.

Such testing was passed in Apr. 1960 very successfully. The computer demonstrated unusual for that times reliability and stability of operation in wide range of ambient temperature and supply voltage. It was found that the computer is rather simple both in manufacturing and in service, suitable for wide range of applications. « Setun » was recommended for production.

L’article explique ensuite que ce projet a été dédaigné, négligé, et découragé par les autorités officielles, sans que les motifs en soient très clairs.

Unfortunately the officials of the computer production in the USSR had negative position about non-planned and unusual « fruit of university fantasy ». Instead of supporting the innovation and taking a possible profit they permanently attempted to annihilate « ugly duckling ». There were many orders of « Setun », including ones for export, but only 10-15 computers were produced annually and none of them was exported aboard. The planned manufacture of « Setun » in Czechoslovakia was also broken. At 1965 the manufacturing of « Setun » was stopped in spite of unsatisfied requests. It was replaced by a binary computer of the same performance but more than 2.5 times more expensive.

Notez que je n’ai cité que de brefs extraits de ces pages que j’ai trouvées très intéressantes. Les liens proviennent de la page suivante sur Wikipédia:

Système trinaire

Ajoutez-y quelques pages de plus en cherchant sur le web, comme cette simulation en ligne de l’ordinateur Setun:

Mise à jour du lien 2020 http://trinary.ru/projects/setunws/ (c’est une démo en ligne, amusez-vous avec !)

 

  • Setun WS: Emulator of Ternary soviet computer
  • Developed by Alexander Obukhov
  • Version beta.9.2.4

Et un autre, à télécharger sur Sourceforges.

http://sourceforge.net/projects/tunguska/

 

Communiquer sur Internet, E-mail, IRC, Jabber et autres

Voici quelques pistes pour communiquer à l’aide de logiciels et de protocoles libres.

Un nombre de plus en plus grand d’utilisateurs du web débutants communiquent couramment par l’intermédiaire de Facebook, et parfois Twitter… et autres outils propriétaires commerciaux.

Pourtant d’autres moyens de communication libres, eux, existent, sont faciles à utiliser, les logiciels fournis pour les employer sont sous licences libres ainsi que les protocoles qu’ils emploient : ce sont IRC, Jabber, les listes de discussion Usenet, les forums structurés par catégories et sous-catégories…

Toutes les informations peuvent être trouvées sur ce site : Wikipédia Fr et ailleurs sur Internet.

Les communications peuvent/devraient aussi bénéficier d’une certaine confidentialité. Pour communiquer par E-mail, utilisez le chiffrement. À lire : On frappe à la porte, traduit de la page de Richard Stallman « Waiting for the knock ».

Comment utiliser le chiffrement, lorsqu’on ne connaît rien à la technique ? Il suffit de lire les quelques pages de documentation rédigées à l’attention des débutants, et disponible ici : Chiffrer son courriel avec Enigmail.

Installer et configurer Xchat, client IRC (un client IRC est un logiciel vous permettant de communiquer sur des salons utilisant le protocole nommé IRC, pour Internet Relai Chat).

Sabayon 7 Lxde x86 et Sabayon 8 Gnome x86_64

J’essaie Sabayon pour la première fois, après avoir tenté d’en démarrer une version depuis les fichiers extraits de l’image ISO il y a quelques années, en vain… voir l’essai loupé ici:
Sabayon Linux sans CD, loupé

Lien vers le wiki:

HOWTO: Booting Sabayon LiveDVD Image from a USB Device with Grub

Installer sur une clé usb avec Grub legacy; Ne pas utiliser fdisk mais Gparted. Suivre les autres étapes.

Cohabitation Grub legacy – Grub2:

Installer sur une machine avec Grub legacy sur le MBR et le Grub2 fourni avec Sabayon sur l’EBR de la partition d’installation; Utiliser la ligne de boot fournir dans le grub.cfg sous /boot dans la nouvelle installation pour créer le bloc de texte qui convient dans le menu.lst de Grub legacy

Premiers pas après installation:

Utiliser equo, gestionnaire de paquets en ligne de commande, dés le départ. Les premières commandes en root:

equo update && equo install equo entropy sulfur

Cela permet de mettre à jour le gestionnaire de paquets en premier. Dans la foulée, equo a la bonne idée de configurer le dépôt sabayon-weekly. Il fait bien, parce que je ne sais pas dans quel fichier cela se passe (je suppose maintenant que c’est quelque part du côté de /etc/entropy/repositories.conf.d/* mais le premier jour je n’en savais rien… )

Merci à lilltiger du chan IRC #sabayon sur irc.freenode.net, pour son coup de main très utile pour ce qui a suivi:

Utiliser portage conjointement avec entropy, mais avec prudence en suivant le wiki:

HOWTO: Safely mix Entropy and Portage

« # nano /etc/portage/package.use

Add each package there with the USE flags that you want it to have (…) »

J’ai ajouté au fichier package.use cette ligne à la fin:

# Installer Openbox 3.5.0 qui est compilé avec libImlib2-dev
x11-wm/openbox imlib

et à la fin du fichier package.mask cette ligne:

# openbox est géré par portage pour cette fois
x11-wm/openbox

Une fois enregistrés je les ai copiés vers mon home afin de les sauvegarder, suivant ainsi les recommandations du wiki (qui n’indique pas où les conserver, masi conseille d’en faire une copie de sauvegarde).

Puis synchroniser le dépôt portage de Gentoo:

emerge –sync

(une à deux minutes environ sont nécessaires)

emerge -av openbox

Ce qui a produit:

/usr/portage/profiles/updates/3Q-2011……………………..
/usr/portage/profiles/updates/4Q-2011…………………………………………………………………………………………………
/usr/portage/profiles/updates/1Q-2012………
@#####

* An update to portage is available. It is _highly_ recommended
* that you update portage now, before any other packages are updated.

/! * To update portage, run ‘emerge portage’ now.// le wiki prévient bien de ne pas faire ceci !! Ne pas le faire quand on utilise entropy et portage conjointement dans Sabayon.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

comete packages # emerge -av openbox

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

These are the packages that would be merged, in order:

Calculating dependencies… done!
[ebuild     U  ] x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019 [3.5.0-r1] USE= »imlib* nls session startup-notification -debug -static-libs » 465 kB

Total: 1 package (1 upgrade), Size of downloads: 465 kB

!!! The following installed packages are masked:
– net-wireless/broadcom-sta-5.100.82.112-r2::gentoo (masked by: Broadcom license(s))
A copy of the ‘Broadcom’ license is located at ‘/usr/portage/licenses/Broadcom’.

– media-gfx/gimp-2.7.3-r1::gentoo (masked by: package.mask)
/usr/portage/profiles/package.mask:
# Sebastian Pipping <sping@gentoo.org> (31 Aug 2011)
# Upcoming bump, afraid of ~arch for now (bug #283152)

– sci-libs/hdf5-1.8.7::gentoo (masked by: package.mask)
/etc/portage/package.mask:
# Temp. masked

For more information, see the MASKED PACKAGES section in the emerge
man page or refer to the Gentoo Handbook.

Would you like to merge these packages? [Yes/No] No

Quitting.

* IMPORTANT: 5 news items need reading for repository ‘gentoo’.
* Use eselect news to read news items.

En fait je pouvais dire oui. Les messages concernant les autres paquets, qui sont des paquets « masqués », ne sont là qu’à titre informatif.

Donc j’ai relancé la commande et répondu oui, ce qui a installé le nouveau paquet Openbox, avec le flag imlib. Plus exactement les sources ont été téléchargées compilées et installées:

«févr. 17 01:31:47 <lilltiger> melodie: yes, as that question was only about the openbox, and as you see on openbox the imlib flag is added»

ceci pour installer un paquet dont l’option in-dis-pen-sable ne figure pas dans le paquet du dépôt.

Commande finale que j’ai failli oublier:

$ su
Mot de passe :
# equo rescue spmsync
>>  Scanning Source Package Manager and Entropy databases for differences…
>> cannot convert COUNTER for media-gfx/viewnior-1.1,
>>  @@ Quelqu’un a supprimé ces paquets. Ils seraient supprimés de la base de données système:
>>     # media-gfx/viewnior-1.1
>>  — (1/1) >>> Suppression media-gfx/viewnior-1.1
>>  @@ Suppression de la base de données complétée.
>>  @@ Quelqu’un a ajouté ces paquets. Ils seraient ajoutés à la base de données système:
>>    # x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  ++ (1/1) >>> Ajout x11-wm/openbox-3.5.0_p20111019
>>  @@ Mise à jour de la base de données complétée.
#

Information supplémentaire:

«févr. 17 01:35:32 <lilltiger>    melodie: you could do like « emerge –quiet openbox » and it would just install it telling you as little as possible»

libImlib est apparue:

    $ ldd /usr/bin/openbox | grep libImlib
libImlib2.so.1 => /usr/lib64/libImlib2.so.1 (0x00007f2b0b730000)

Ainsi que les icônes.

Avant:

Openbox dans Sabayon 8 Gnome

Après:

Sabayon 8 Gnome + Openbox avec le flag libImlib

Au fait, cette machine se nomme comete.

ACTA pour les nuls – qu’est-ce que ACTA ?

Avez-vous vu ces vidéos et ces articles ?

http://www.youtube.com/v/Qo00pGk8FkQ

Web Action Now

ACTA (Accord Commercial Anti Contrefaçon), un accord qui menace la liberté d’internet. Cet accord vise officiellement à protéger la propriété intellectuelle au niveau international. Jusque là tout va bien.. Mais le terme de « propriété intellectuelle » est volontairement flou. (…)

La seule chose que vous devez savoir à propos d’ACTA, par Rick Falkvinge

On n’a pas le temps de souffler. Après SOPA, c’est ACTA qui est à repousser et avec la plus extrême vigueur. Pourquoi ? Vous le saurez en creux en parcourant ce court et percutant billet de Rick Falkvinge (que l’on traduit souvent actuellement).

Vous le saurez aussi et surtout en vous rendant sur la rubrique dédiée de La Quadrature qui nous fournit une excellente boîte à outils de résistance et mobilisation (sans oublier la pétition en ligne qui témoigne bien de la colère qui gronde).(…)

Utiliser une distribution PCLinuxOS Openbox et remplacer PCManFM par Nautilus

Ce sont quelques notes prises pour faire un point sur les progrès en cours, pour savoir si il est possible de remplacer PCManFM dans une distribution contenant uniquement Openbox et quelques programmes. Le but, rendre simple l’affichage du fond et des icônes (iDesk étant un programme pour afficher des icônes sur le bureau, amusant à mettre en place, mais obsolète,  pas utilisable sans une configuration manuelle icône par icône, et n’ayant pas de remplaçant récent que je connaisse), tout en ayant plus d’un bon gestionnaire de fichiers solide et fiable dans les choix possibles.

Les paquets installés:

nautilus (2.32.2.1-1pclos2010)

avec les dépendances suivantes:

gnome-python-desktop (2.32.0-3pclos2010)
gnome-python-nautilus-burn (2.32.0-3pclos2010)
gnome-python-totem (2.32.0-3pclos2010)
libnautilus-burn4 (2.25.3-7pclos2010)

Puis pour pouvoir utiliser la fonction gestion de bureau (fond et icônes) il faut gnome-settings-daemon:

gnome-menus (2.30.5-1pclos2010)
gnome-screensaver (2.30.2-1pclos2010)
gnome-settings-daemon (2.32.1-2pclos2010)
libgnomekbd4 (2.32.0-1pclos2010)
metacity (2.34.1-1pclos2011)
python-gnome-menus (2.30.5-1pclos2010)

Ensuite, pour pouvoir gérer aisément le fond d’écran et les icônes, j’ai installé gnome-control-center qui contient gnome-appearance-properties:

gnome-control-center (2.32.0-1pclos2010)
libgnome-window-settings1 (2.32.0-1pclos2010)

Une fois cela fait, il faut lancer gnome-settings-daemon et nautilus au démarrage. Après quelques essais et une recherche sur « où est gnome-settings-daemon » dans le système, celui-ci étant hors du $PATH, et nautilus ayant de multiples options, j’ai ajouté ceci dans le fichier autostart.sh situé sous ~/.config/openbox :

# lancer Nautilus comme gestionnaire de fond et d’icônes
/usr/lib/gnome-settings-daemon &
nautilus –no-default-window &

Après cela et quelques rechargements de la session X les polices et le thème d’icônes ne ressemblaient plus à ce que j’avais précédemment.

Dans le Centre de Contrôle Gnome j’ai trouvé l’entrée de la configuration pour Apparence, et configuré le fond d’écran et le lissage des polices. Il me manquait le choix du thème d’icônes, et j’ai trouvé ça dans gconf-editor, accessible aussi depuis le Centre de Controle Gnome (/usr/bin/gnome-control-center) sous les menus : desktop > gnome > applications > interface, où j’ai aussi pu choisir les noms et taille de fontes, et le thème gtk. Il suffit de cliquer sur le champ correspondant à leurs valeurs et de les changer là, ce qui va être écrit quelque part dans un des fichiers xml, probablement sous ~/.gconf et quand je regarde dans ce répertoire, sous ~/.gconf/desktop/gnome/interface je vois un fichier nommé %gconf.xml contenant ces lignes:

<?xml version= »1.0″?>
<gconf>
<entry name= »font_name » mtime= »1325990510″ type= »string »>
<stringvalue>DejaVu Sans 13</stringvalue>
</entry>
<entry name= »gtk_theme » mtime= »1325948049″ type= »string »>
<stringvalue>Equinox_Light</stringvalue>
</entry>
<entry name= »icon_theme » mtime= »1326041809″ type= »string »>
<stringvalue>LinuxLex-8</stringvalue>
</entry>
<entry name= »monospace_font_name » mtime= »1325947640″ type= »string »>
<stringvalue>Monospace 11</stringvalue>
</entry>
</gconf>

En chemin, je dois aussi dire que j’ai dû modifier des fichiers pour les entrées des menus, afin d’accéder à Nautilus en tant que gestionnaire de fichiers, et quelques trucs en plus…

Pour que ce soit propre et que les fichiers desktop en question ne soient pas écrasés lors d’une mise à jour de l’un ou l’autre des programmes, j’ai d’abord créé un répertoire « applications » sous ~/.local/share, puis j’y ai copié les fichiers suivants:
gconf-editor.desktop
gda-browser-4.0.desktop
gnomecc.desktop
nautilus-browser.desktop

Par exemple, dans nautilus-browser.desktop, j’ai changé la ligne

Categories=GNOME;GTK;System;Utility;Core;

en

Categories=FileManager;X-MandrivaLinux-System-FileTools;

ainsi, le menu d’entrée apparaît dans la même section que PCManFM, ou n’importe quel autre gestionnaire de fichiers sous Applications > Outils fichiers.

J’ai également profité de l’occasion pour supprimer des entrées de menus qui se retrouvent à plusieurs endroits dans les menus, ce que je trouve inutile, et aussi supprimer une section qui ne me sert à rien : celle de l’entrée vers les bases de données.

Pour la plupart des fichiers desktop, j’ai pu faire en sorte de ne plus les voir dans les menus juste en changeant la ligne « Categories= ». Par exemple, Lomanager apparaissait dans Bureautique et dans Centre de gestion des logiciels. Je ne le veux que dans Centre de gestion des logiciels alors j’ai changé:

Categories=PackageManager;GTK;System;X-MandrivaLinux-System-Configuration;X-MandrivaLinux-Office;X-MandrivaLinux-System-Configuration-Packaging;

en
Categories=PackageManager;GTK;System;Application;X-MandrivaLinux-System-Configuration-Packaging;

Pour supprimer l’entrée complète « Bases de Données » cela a été un petit peu plus complexe. J’ai fait divers essais qui n’ont pas fonctionné avant de trouver qu’il fallait agir sur deux repertoires différents. Alors sous ~/.local/share/ j’ai aussi créé le répertoire : desktop-directories dans lequel j’ai copié (depuis /usr/share/desktop-directories) le fichier mandriva-moreapplications-databases.directory. Pendant ce temps dans le répertoire ~/.local/share/applications, j’avais copié les deux fichiers correspondant au menu Applications > Autres applications > Bases de Données, soit libreoffice3.4-base.desktop et phpMyAdmin.desktop (l’un est déjà sous Bureautique, tandis que j’accède à l’autre quand j’en ai occasionnellement besoin, depuis le navigateur web, je n’ai donc pas besoin d’un menu pour ça).

Fichier libreoffice3.4-base.desktop: il a maintenant cette ligne:

Categories=Office;X-Red-Hat-Base;X-SuSE-Core-Office;

et à l’origine, il est un lien symbolique sous /usr/share/applications, et pointe vers /opt/libreoffice3.4/share/xdg/base.desktop, qui contient cette ligne:

Categories=Office;X-Red-Hat-Base;X-SuSE-Core-Office;X-MandrivaLinux-MoreApplications-Databases;

pour phpMyAdmin, il a maintenant:

Categories=GTK;

alors qu’il avait:

Categories=X-MandrivaLinux-MoreApplications-Databases;

Je ne sais pas s’il est possible de faire de meilleures modifications pour obtenir la suppression d’une catégorie d’entrée de menus. En attendant, cela fonctionne, et les menus nécessaires pour gérer un « Bureau Openbox » avec Nautilus sont à leur place.

Les menus Openbox sont toujours disponibles depuis le panel tint2, configuré pour permettre son affichage. Il ne manquerait plus qu’une entrée pour l’afficher depuis le menu Nautilus qui apparaît dans le clic-droit du bureau, ou  à l’inverse pouvoir configurer Nautilus pour permettre l’affichage du menu Openbox et dans celui-ci, ajouter le menu Nautilus pour pouvoir choisir par exemple un nouveau fond d’écran, à l’identique de ce que nous avons fait avec PCManFM.

Merci aux membres du forum Linuxgator.org
(Using Nautilus in Openbox ?) pour m’avoir aidée à dépasser les difficultés liées à ma méconnaissance de l’environnement Gnome. Je remercie en particulier knome et ongoto.